L'In-Justice, la Viol-ence et la Mort
Dysfonctionnements, abus de pouvoir et violences judiciaires, politiques et législatifs
La notion de "justice" est le socle commun d'une civilisation basée sur des valeurs morales et éthiques à la fois collectives et individuelles. Le système judiciaire d'un pays c'est sa colonne vertébrale et en même temps le socle qui fonde la légitimité de l'autorité de l'Etat, comme de l'autorité parentale d'ailleurs ! Il est le garant du respect des institutions, de la souveraineté de la Nation et organise les relations interpersonnelles, intergénérationnelles, interculturelles, intercommerciales, intersexuelles et interethniques entre les individus, associations et sociétés qui la composent.
De l'idée de justice née en retour l'attitude de respect et plus encore de "déférence" (déf : attitude très respectueuse que l'on témoigne à quelqu'un ou quelque chose). C'est uniquement à partir du présuposer de la justice et plus précisément de l'équité des chances que le groupe ou l'individu s'assure de sa légitimité et de son autorité face à celui ou celle qui le réclame ou l'attend en retour. C'est pourquoi nous, adultes, ne cessons de chercher à imposer à autrui toujours plus de respect et d'équité déjà entre hommes et femmes, blancs ou noirs, grands, gros, petits ou maigres... Par conséquent, de façon totalement logique et cohérente, c'est aussi ce que nos enfants et adolescents exigent réciproquement pour eux-mêmes. En répétant, parfois à longueur de journée, ou en le pensant très fort, voir même en le hurlant à l'adulte dominateur : "C'est pas juste ! T'as pas le droit !", à cela l'adulte répond généralement : "Non mais... un peu de respect, veux-tu !" Oui mais voilà, l'un ne va pas sans l'autre et on le sait très bien déjà pour nous-mêmes au quotidien.
Ainsi, si déjà à nos dépends, nous apprenons en grandissant que malheureusement la justice des adultes comme la justice humaine dysfonctionne par principe - puisque dans les faits c'est plus souvent le plus fort ou riche qui l'obtient et non le plus faible et opprimé - cependant il n'en demeure pas moins que les notions de "justice" et d'"injustice" restent au coeur de nos attentes sociales, professionnelles, familales ou religieuses... et donc aussi de nos préoccupations, surtout, surtout, losque des ennuis ou drames surviennent brutalement dans nos vies.
"Coupables d'avoir été victimes : quand la Justice déraille" de l'Institut Pour la Justice publié le 24 janvier 2022 : https://youtu.be/-w693UG9ZrE
"Alors que les détenus et les délinquants sont défendus par des dizaines d'associations, les victimes sont les grandes oubliées du système judiciaire français. Après avoir subi une agression, un viol, parfois un meurtre, les victimes se retrouvent le plus souvent seules et complètement démunies face à un système qui les broie."
Durant des siècles nos ancètres se sont donc acharnés à s'accorder (très difficilement il faut le dire) afin d'établir un socle commun fondé en Occident sur la Morale Chrétienne à partir des célèbres "Tables de la Loi" hébraïques ou plus exactement des "10 commandements" bibliques (ex : tu ne tuera ni ne volera pas, ne convoitera ni les biens, ni la femme de ton voisin, l'inceste et le mariage en famille sont interdits, etc.). Remplaçant ainsi progressivement les anciennes coutumes païennes et barbares de la réciprocité des crimes et des délits qui étaient appliqués impitoyablement à l'époque, notamment au travers de la fameuse "Loi du Talion" : "Oeil pour oeil, dent pour dent" qui caractérisait : "un état intermédiaire de la justice pénale entre le système de la vendetta et le recours à un juge comme tiers impartial et désintéressé. Le mot talion a pour origine talis, ce qui en latin signifie « tel », c'est-à-dire « pareil », « semblable ».
Oui mais voilà, que se passe-t-il lorsque tous les verrous sautent les uns après les autres dans un système de plus en plus illégtime donc autoritaire et répressif, à une époque charnière et civilisation aussi décadente que la notre actuellemement !? Lorsque nos systèmes politiques, médiatiques, administratifs, législatifs et judiciaires défaillent tellement qu'ils réinversent la vapeur, nous plongeant de nouveau lentement dans la barbarie, le totalitarisme et le chaos. Cela vous semble propablement un peu exagéré peut-être !? En apparence c'est vrai, mais dans le fond nous savons parfaitement et voyons tous et toutes au quotidien que les viol-ences visibles prolifèrent partout dans notre société de moins en moins "démo-cratique" et dans un pays de moins en moins "républicain" aussi, en réalité. Pour cela il aurait au moins fallu que se poursuivent, selon Montesquieu, la séparation des pouvoirs judiciaires, législatifs et excecutifs voir même aujourd'hui médiatiques. Pourtant ce n'est plus le cas ! De même que les viol-ences invisibles augmentent elles aussi avec un état de plus en plus autoritaire et totalitaire car intrusif jusque dans notre intimité et choix de vie ou santé. Un gouverne&ment totalement soumis non pas à son propre parle&ment nationale mais bien à une union fédérale appellé injustement déjà UE : Union Européenne (Union des Peuples Européens alors que ce n'est plus le cas uniquement...). Nos institutions étant progressivement devenus entièrement soumises et inter-dépendantes des traités et directives abusives de l'UE, mises en place par des dirigeant.e.s non élu.e.s en réalité au départ, et non directement par les populations lors de suffrages directes mais indirectes. Une fédération d'opérette en vérité soumise clairement elle-même aux intérêts américains alors qu'elle a avait été crée au départ (officiellement du moins) pour leur faire concurrence, notamment au dollard avec l'euro. Un fausse "Union" donc qui ne cessent pourtant depuis plus de 20 ans de nous taxer et ruiner, nous intoxiquer et polluer, nous contrôler et espionner, nous apeurer et nous diviser... Bref nous mettre, avec nos enfants, physiquement à genoux et psychologiquement en état de stress permament et de grand danger ! Car non seulement ces oligarches tout puissant tolèrent l'invasion d'immigrés illégaux provenant d'Afrique ou autre, mais même encouragent l'ensauvagement de nos cités et campagnes. Personne désormais n'est plus épargné ! Car ce qui différence et a toujours différencié une légère immigration d'une véritable invasion, c'est le nombre et la répétition des "attaques" ou "intrusions".
Ainsi, comme toutes les femmes, mères et/ou victimes de cet "ensauvagement" moderne, nous constatons impuissant.e.s que notre pays et les autres nations autour redeviennent de plus en plus violentes, intrusives, oppressives pour les plus pauvres, les vieux, les malades et démunis, durcissant sans cesse leurs lois liberticides, contrôles & perceptions fixcales abusives, taxes et charges obligatoires, etc. Tout en étant de plus en plus laxistes avec les plus forts et dangereux criminels, escrocs, délinquants, mafieux, violeurs (pédo)criminels ou même se rendent complices des exactions, délocalisations et défiscalisations des plus riches comme de nos dirigeants corrompus, intouchables banksters apatrides & oligarques mafieux, colonialistes et génocidaires.
Il faudrait désormais être aveugle, sourd et muel après TOUS LES SCANDALES & PREUVES, témoignages et documents, affaires judiciaires, médiatiques ou autres, pour refuser encore de voir la vérité en face et enfin s'atteler à régler une bonne fois pour toute ces graves dysfonctionnements qui nous détruisent à petit feu. Comme le rapportent désormais, au péril de leurs vies ou réputations, ces courageux médecins ou journalistes indépendants, avocats rebelles ou même policiers, gendarmes et magistrats en colère dont voici une liste non exhaustives et quelques ouvrages importants à connaître sur la Kleptocratie française : Comment les dépôts bancaires, cotisations sociales et avantages sociaux ... d'Eloise Benhammou, aux éditions le Jardin des livres, 2016, ou encore La Caisse Des Dépôts - Enquête Sur Le Coffre-Fort Des Français, de Sophie COIGNARD & Romain GUBERT, aux éditions Seuil, 2017, "L'Ennemi de l'Interieur: Derives Et Dysfonctionnements de la Police Nationale" de l'ex policier et syndicaliste de Vigie Police, Alexandre LANGLOIS, Talma éditions, 2019, Les Voraces & La Mafia d'Etat, Vincent JAUVERT, aux éditions Robert Laffont & Seuil, 2020 & 2021, Tous résistants dans l'âme, éclairons le monde de demain du Dr Louis FOUCHE sur la crise sanitaire COVID, aux éditions Guy Trédaniel, 2021, Le Ministère de l'Injustice, de Jean-Michel DECUGIS, Pauline GUENA & Marc LEPLONGEON, aux éditions Grasset & Fasquelle, 2022... ou encore ci-dessous "Je vous laisse juges... Confidences d'un magistrat qui voulait être libre" de Luc FERMIOT aux éditions Michel Lafon, 2014... et tant d'autres livres ou reportages de nombreux lanceurs et lanceuses d'alerte qui dénonçent les déficiences et dérives totalitaire du système judicaire, politique et administratif français dont la plus célèbre reste encore après feu Claire SEVERAC dans son célèbre La Guerre secrète contre les peuples, aux éditions Kontre Kulture, 2015, la psychoclinicienne Ariane BILHERAN Chronique du totalitarisme, psychopathologie du totalitarisme,, éditions d'auteur Bookelis, 2021 ou encore Les Démasqués, Qui dirigent réellement le monde ? de Claude JANVIER, KA'Editions, 2023.
Préface éditeur du livre "Je vous laisse juges... Confidences d'un magistrat qui voulait être libre" de Luc FERMIOT éditions Michel Lafon, 2014
" La Justice n’est pas cette divinité dont chacun se réclame à moins qu’il ne l’implore, selon la place qu’il occupe dans le prétoire […] Certes le coupable doit être puni, la victime reconnue, les droits de la défense assurés et l’ordre public garanti. Mais la réalité est un peu plus complexe. " C’est de cette réalité que nous parle Luc Frémiot. De la vie hors les murs qui envahit les tribunaux. Celle qui, d’une manière ou d’une autre, nous concerne. Cela donne tour à tour des scènes de théâtre de boulevard dans le prétoire, ou de quoi mesurer l’angoisse d’une femme à qui son compagnon violent impose un macabre " thriller " parce qu’elle veut le quitter. Et, grâce à ce talent de conteur, mine de rien, nous découvrons sans nous ennuyer une seconde tous les aspects inconnus de l’appareil judiciaire ! De la fiabilité relative des témoignages aux curieuses raisons qui font parfois récuser un juré en passant par la folle course à l’acquittement de certains avocats, l’influence dangereuse des médias, et les grandes sacrifiées du système : les victimes. Sans compter des pages bouleversantes sur les violences intrafamiliales, encore trop négligées sous prétexte qu’elles relèvent de l’intimité. Un livre brillant mais sans effets de manches, qui nous fait réfléchir sur la société et cette humanité dont nous faisons partie."
Alors, remise en fonction de la peine de mort, validation de l'euthanasie ou "suicide assisté" !?
C'est d'abord suite à la lecture de l'interview ci-contre et gros coup de gueule et colère d'un collectif des pharmaciens & autres professionnels de santé, lanceur.euse.s d'alerte sur les dangers de l'euthanasie en France (publié sur Ligne droite le 23 mai 2024), que nous avons souhaitez réagir. De même c'est suite à l'ouvrage (extrait ci-dessous) d'un autre coup de gueule mémorable provenant d'un ancien gendarme devenu magistrat et auteur, René PAGIS (publié sur "La Montagne" le 13 janvier 2018) que nous allons également partir pour vous détailler non seulement ce qui ne va plus dans nos lois et services publiques français, mais ce qu'il faudrait faire en priorité pour que la situation change enfin !
Car, même si nos élus et fonctionnaires actuels des divers ministères, Parlement & Tribunaux, Agences de santé, cabinets et établissements publics ou privés comme nos policiers, gendarmes, militaires & autres SS : Services Sociaux et de Sécurité pour la Surveillance en France, l'Enseignement, le Transport ou autres dysfonctionnent... Chaque fois ils/elles reportent toujours la faute plus haut, en réalité, c'est tout en bas que les ordres s'exécutent véritablement ou non, et donc s'appliquent ou non sur les victimes ou bien sur leurs bourreaux, ou encore sur les premiers responsables tout en haut.
"Dans son livre Tout le monde en prison, il pousse un cri d'indignation, « un cri nourri de frustration, d'agacement, de révolte et de sentiment d'impuissance ressenti tout au long d'une carrière de magistrat contraint de faire avec les moyens du bord. »
Qu'est-ce qui vous a motivé pour écrire ce pamphlet ? « J'ai été frappé par l'absence totale du sujet de la justice lors des dernières campagnes électorales. N'était évoquée la justice que pour mettre en cause l'intégrité des juges. Ou alors quelques allusions pour construire des places de prison ou remettre au goût du jour les peines plancher. Sorti de ça, rien. À aucun moment, on se pose la question de savoir si on n'est pas dans une phase grave de crise pour la justice. Et surtout, on ne s'est pas posé la question de savoir ce que l'on allait faire de nos prisons.
Le sort des prisons semble beaucoup vous préoccuper. Elles sont surchargées. Il y a à peu près 70.000 détenus pour 58.000 places. En prison, en raison de la surpopulation, on ne fait que gérer la tranquillité. On n'impose plus grand-chose. On fait seulement en sorte que ça ne pète pas. C'est l'école de la récidive et les prisons n'ont aucun intérêt pour des gens qui ne sont pas dangereux. Il faut en évacuer un bon tiers, sortir ceux qui n'ont rien à y faire soit pour des raisons psychiatriques, soit parce que les délits commis ne sont pas dangereux.
Interview de René PAGIS au magazine La Montagne le 13 janvier 2018 : https://www.lamontagne.fr/clermont-ferrand-63000/loisirs/lancien-magistrat-rene-pagis-signe-un-pamphlet-sur-la-justice_12699813/
En réalité, tout le monde est entièrement responsable déjà à son niveau et donc devraient oeuvrer pour que le système change dans le bon sens et non dans le sens maléfique où certains hauts dirigeants aveugles ou criminels eux-mêmes voudraient le faire changer. Et c'est pouquoi aussi chacun.e a le devoir déjà non pas de critiquer sans savoir, ni chercher, mais bien de s'informer auprès de sources très différents de la Doxa habituelle, soutenir les médias indépendants et autres lanceurs d'alerte taxés e,core injustement de "complotistes", "extrémistes", "terroristes", affabulateurs-trices, etc. Car comme ces courageux.euses pharmactien.ne.s, médecins, avocat.e.s ou juges, tous et toutes pourront un jour se retrouver à leur place également.
Et comme le rappelle ci-contre l'antropologue, auteur et conférencier suisse Jean-Dominique MICHEL dans son débunkage de l'émission de la Radio & Télévision Suisse calomniant gravement le Dr Louis Fouché (médecin urgentiste français, lanceur d'alerte au moment de la crise Covid), le journaliste n'est plus le contre pouvoir au pouvoir étatique mais bien son organe de propagande préféré ("La RTS attaque Louis Fouché : le scandale de trop ?!" du 24 mai 2024 : https://youtu.be/K_9ELJ9oVI4)
Gardez toujours à l'esprit les risques réels d'ERREURS JUDICIAIRES & MEDICALES comme de PERSECUTIONS POLITIQUES & CABALES MEDIATIQUES quand sous le coup d'émotions fortes comme la colère, la haine, la peur, la vengeance ou la pitié même vous pourriez-vous être tenter de vouloir "revenir en arrière" sur les acquis sociaux historiques et réclamer le retour de la peine de mort en prison d'abord ou même de l'euthanasie ensuite. Car ce "suicide assisté" médicalement est bien à nouveau une autre forme de peine de mort "plus soft" pouvant être appliquée soit volontairement, soit involontairement sur des vieillards à l'hospice (EPHAD), des malades ou handicapés chroniques (projets eugénistes encore ici !? Voir page La stérilisation & l'eugénisme) dans les cliniques ou hôpitaux français y compris psychiatriques (et là vous voyez mieux pointer le danger !), dans les maternités aussi (où y a risque réel d'infanticide post-naissance traumatique ou de bébés handicapés...), où même sur toute personne vulnérable jugée trop vite "malade incurable" ou "suicidaire", y compris chez des adolescent.e.s temporairement désoeuvré.e.s ou rejeté.e.s par leurs familles ou amoureux.ses, des enfants ayant subit l'inceste ou la pédocriminalité, des femmes ou hommes fragiles ou instables subissant l'influence malveillante d'un.e conjoint.e ou famille toxique, etc. etc. Cette liste non exhaustive pouvant très vite devenir longue comme le bras dans un état totalitaire, coercitif et eugéniste jugeant arbitrairement qu'il est normal de castrer définitivement des enfants ou adolescents sains et de rembourser entièrement leurs "trans-itions" mais pas nos lunettes ou opérations vitales (lire Homosexuel.le ou trans-genre) Et surtout qu'il existe des "gens qui ne sont rien", des librairies et "commerces non essentiels", des "bouches inutiles" comme des "antivax" dangereux, des "complotistes" extrémistes et autres "terroristes" à éradiquer aussi et surtout une démographie mondiale à infléchir drastiquement (lire Transgenrisme et Transhumanisme).
Bref, tout cela n'a plus de sens, ni de cohérence !
Constats et solutions d'émancipation politique & d'idéologie sectaire
Alors QUI est responsable en premier de cet état de fait ? Evidemment, en priorité, il s'agit du président puisqu'au plus haut sommet de l'Etat (pouvoir executif) qui dirige le navire "France" et est garant des institutions de la Vème République, détient avec ses ministres les cordons de la bourse et choisi ses juges complices, domine et censure toute opposition réelle en musèlant tous les autres pouvoirs (législatif, judiciaire et médiatique). Raisons pour lesquelles techniquement parlant, selon la définition de Montesquieu, nous ne sommes plus en "démocratie", ni république, puisque sans séparation réelle des pouvoir donc sans constitution donc "hors cadre juridique" donc sans pouvoir légitime...
Le sachant maintenant que pouvons-nous faire ? Comme vu dans notre précente page sur les Féminicides & infanticides le seul et unique moyen de se débarrasser, autant au niveau personnel que collectif, d'un manipulateur pervers narcissique (PN) autoritaire, incohérent, totalement dérangé, oppressif et violent... c'est soit de fuir et choisir l'exil comme beaucoup d'opposants français actuellement (mais pas la solution non plus pour tous les autres qui restent en danger), soit de choisir de l'affronter en face, courageusement et tranquillement, sans peur ni reproche, mais surtout sans lui obéir un seul instant. C'est encore possible tant que les persécutions et déchaînements de violences physiques restent maîtrisables et tant que les "bras armés" de l'état que sont les Forces de l'Ordre à l'intérieur, Militaires à l'extérieur, les Services Secrets & autres Agents Fiscales ou Judiciaires se retiennent un temps soit peu... Voilà aussi pourquoi il faut continuer à diffuser les informations encore accessibles et ainsi sensibiliser le large public afin déjà qu'ils/elles se déprogramment et changent progressivement aussi leur perception personnelle de cette réalité tronquée, que cela les inciter ensuite à reprendre leur pouvoir légitime et bonnes décisions et maintenir ainsi les dernières digues en place avant qu'elles ne lâchent définitivement, comme lors des précédentes guerres civiles internes ou militaires externes.
Ecouter attentivement les vidéos ci-dessous pour avoir quelques autres propositions :
Le pardon ou l'attente d'une supposée "justice divine" seraient-ils alors les seules issues ?
D'ailleurs relevons qu'il pourrait être tentant également en tant que "victimes" de ne rien faire ou juste "pardonner" à nos persécuteurs et d'attendre ainsi sagement ou plutôt passivement que cela passe, telle l'énorme vague d'une marée déferlante, tels les coups qui pleuvent sur le corps des femmes ou enfants battus. Mais NON en fait ! Face aux dysfonctionnements réels de nos institutions et surtout système politique et judiciaire nous ne de devons surtout pas être tenter, comme nos ancètres, de nous tourner uniquement vers la foi, la spiritualité et le vain espoir d'une justice divine at vitam (causes = conséquences sur terre) ou at vitam æternam c'est à dire post-mortem (paradis-enfer célèste ou réincarnations futures...) ?
C'est justement ça le piège ! Et l'erreur que tant de chrétiens martyres, de emmes et d'enfants victimes, ont fait pour continuer de maintenir en place leurs bourreaux dominateurs, esclavagistes et/ou patriarches (car on rappelle que les prisonniers délinquants et criminels sont à plus de 95% des hommes). Les laissant impunément continuer au lieu de tenter d'abord de les arrêter pour qu'ils ne puissent plus nuire à autrui et faire d'autres victimes.
Non que le pardon, la prière ou la méditation ne puissent être utiles et même nécessaires pour s'apaiser d'abord soi-même et poursuivre son existence sans émotions destructices telles que la haine, la vengeance ou la violence, et finir plutôt par se soigner et trouver une forme de paix et de résilience. Mais cela ne suffit jamais sans actions posées à côté ! Et pour cela, voici une liste de mesures que toutes les victimes de France devraient avoir en tête pour exiger de leurs (moins mauvais) politicien.ne.s élu.e.s et surtout des courageux.es résistant.e.s, partisans, syndiqués qu'elles soient un jour reconnues et appliquées :
Proposition de mesures concrètes à mettre en place au niveau politique, juridique et judicaire en France
Séparer en priorité, et de nouveau, tous les pouvoirs en place. L'exécutif n'étant pas au dessus de tous les autres mais bien au même niveau, et par le RIC (Référendum d'Initiative Citoyenne) et le pouvoir de réinformation des médias indépendants (obligatoirement sans subventions publiques ou dons d'industries privées) on doit pouvoir le remettre à sa juste place. Donc le peuple (démos) doit reprendre son pouvoir (Kratos) d'abord en contrôlant mieux ses représentants mandataires, juste élus annuellement (ou 2 ans mais pas plus) qu'une seule fois, de façon révocable et tirés au sort parmis une large liste de candidats au casier judiciaire vierge, résidents en France et de nationalité française. Inévitablement alors cela s'accompagnera d'un changement profond de mode de gouvernance, de notre constitution et "Droit des Etres Humains et Citoyens français" comprenant enfin ceux des femmes et des enfants d'abord.
Comme en Suisse, nos anciennes mais surtout nouvelles lois devraient être débattues publiquement d'abord dans TOUS les médias (sans censure possible) et les plus importantes être voter directement par RIM (Référendum d'Initiative Mandataire), c'est à dire proposés par nos représentants démocratiquement élus au Parlement et au Gouvernement (aucun non élu toléré) et ensuite voter et dépouiller en mairie uniquement. En cas d'arbitrage nécessaire, proposer le tirage au sort d'une commission.
Interdire tous votes indirectes et hors territoire national, ainsi que les machines à voter pour les élections ou référendums fondamentaux et durcir les contrôles citoyens sur place. Ainsi Paris, Marseilles ou autres mégalopoles ne pourraient plus être représentés par un.e "non élu.e" au suffrage indirecte et co-opter par d'autres maires de ses arrondissements. Nos ambassades à l'étranger ne pourraient plus recevoir non plus de votes de français expatriés n'habitant plus sur place et pouvant être influencés par des propagandes négatives et fausses actualités. Et surtout les opposants politiques pourraient véritablement vérifier leurs votes physiques et non virtuels. Le Ministère de l'Intérieur non plus ne pourrait plus centraliser les votes chez lui juste après le dépouillement et annonces télévisiuelles à la même heure, vu que seuls les électeurs-trices in situ annonceraient chacun leur tour les résultats tout au long de la soirée et en directe. Il se passe de plus en plus de choses étranges et fraudes électorales en Occident... et pas qu'aux USA d'ailleurs en passant !
Oter l'immunité et donc l'impunité des juges et hauts fonctionnaires d'état, ainsi que tous leurs privilèges, avantages fiscaux et de droits sociaux, y compris le cumul des mandats et retraites +++ et obliger surtout tout fonctionnaire et "représentants du peuple" (justement retribué mais sans plus), quel que soit son poste et statut (élu ou non élu), à conserver un casier judiciaire vierge tout au long de son mandat et à déclarer ses liens d'intérêt sous peine d'amende proportionnelle à son revenu fiscal et prévenir ensuite tout conflit d'intérêt en les empêchant réellement d'aller pantoufler dans le privé ensuite pendant au moins 5 ans.
Faire respecter tout cela en revenant aux jurés populaires tirés au sort de façon aléatoire (mais selon critères strictes comme le casier judiciaire vierge, la nationalité française, le volontariat rétribué quand même...) pas que dans les Tribunaux d'Assises (crimes) mais aussi dans les Tribunaux de Grande Instance (délits). Car incontestablement, comme pour les politiciens installés au pouvoir trop longtemps, les juges professionnels (magistrats comme procureurs ou liquidateurs d'ailleurs) sont plus aisément corruptibles ou manipulables par d'autres hauts fonctionnaires amis mais aussi par des groupements d'intérêts financiers ou d'ifluence opaques tels que des loges FM secrètes, les cercles dit "philosophiques" ou clubs d'oligarques, de fondations soit-disant qu'"humanitaires", etc. De plus, face à la pénurie de magistrats et procureurs, ceux/celles, déjà en poste auraient du coup beaucoup plus de temps pour traiter des affaires criminelles ou investigations politiques et financières plus complexes. Enfin, cela responsabiliserait davantage les citoyen.ne.s à la bonne gestion de la cité, aux dépenses publiques et à la défense de nos intérêts communs.
Fin des prescriptions pour tout crime et délit en France et obligation pour les procureurs & FdO d'instruire toutes les plaintes en créant des postes de juristes ou "procureurs adjoints" pour cela et augmenter aussi le nombre de conciliateurs ou médiateurs gratuits, policiers et gendarmes en supplément dans tous les départements (interdire d'ailleurs les formations éclairs ou les milices d'état comme la BRAV ou autres). En même temps mettre les préfets et commissaires de gendarmerie ou police sous l'autorité des procureurs d'abord et non du pouvoir exécutif et politique comme actuellement. Mais surtout laisser les associations d'usagers, surtout celles se mesurant aux services judiciaires mais aussi administratifs (sauf dossiers classés "Top secret" évidemment par un juge sous serment), y compris et surtout fiscaux et financiers à Bercy, être contrôlés régulièrement autant au niveau national, régional, départemental et communal, par des citoyen.ne.s contribuables, professionnels ou non, journalistes ou non, pour s'assurer du bon fonctionnement de nos institutions ; en ayant enfin réellement accès à tous les documents administratifs, judicaires, bancaires ou autres (avec encadrement des modalités évidemment).
Ne pas forcément augmenter la durée des peines de prison (hormis pour les crimes sexuels sans prescription possible) mais déjà rejeter toute remise de peine non justifiée par des découvertes nouvelles sur les raisons premières de l'incarcération. Car il semble que les juges aujourd'hui oublient un peu vite qu'une PEINE DE PRISON n'est pas qu'une sorte de PUNITION pour un fait délictueux ou criminel mais bien d'abord un OUTIL DE DISSUASION & un MOYEN DE PROTECTION des victimes ou familles apeurés ou endeuillées et vengeresses, mais surtout de protection d'autres potentielles victimes que le délinquant ou criminel pourrait refaire ensuite à sa sortie ; même s'il jure évidemment le contraire pendant son incarcération. En effet, il est inacceptable de voir libérer aussi rapidement des détenu.e.s pour "bonne conduite" (ou même travail, enfant...) alors qu'ils/elles purgent une peine de base pour "mauvaise conduite" !! C'est se moquer non seulement des victimes et/ou de leurs familles mais surtout pousser à la récidive, l'irrespect et au sentiment d'impunité des délinquants ou criminels.
Exiger des dédommagements plus importants à la proportionnelle et plus à l'amende fixe pour les victimes et/ou à leurs familles endeuillées et lésées aussi (exemple pour les enfants ou (grands)parents de parents maltraités, adultes handicapés, intoxiqués ou autres). Surtout s'il s'agit de multinationales accusées à raison de malversations et intoxications et qui devraient payer des dédommagements conséquents selon leurs bénéfices réels et non chiffres d'affaire. En même temps interdire l'anonymat des personnes morales comme physiques donc rendre public aussi le nom des actionnaires, associés, partenaires, etc. Voir même, dans certain cas, obtenir le remboursement des contribuables tout aussi lésés par les coûts sociétaux des prisonnier.e.s incarcéré.e.s durant des années ou vies. En réalisant davantage de travaux de droits communs pour les petits délinquants en prison ou dans des associations caritatives, des champs ou élevages, au contact de la nature (mais avec bracelet électronique alors) et en proposant l'exil en pays étranger aux autres délinquants récidivistes (à envoyer en pleine forêt, désert ou campagne avec interdiction d'être géolocaliser en ville durant quelques années), on réduirait déjà le nombre de prisonnier.es mais surtout on calmerait l'envie de certain.e de recommencer leurs délits. Par contre, pour les vrais criminels (récidivistes ou non) c'est bien la prison ferme, point barre ! Et vraiment à perpétuité sans sursis, ni remise de peine possible, même si le comportement fut correct en prison pour les mêmes raisons que précédemment cités.
Limiter d'immigration autorisée et interdire sévèrement toute immigration clandestine, en renvoyant immédiatement tous les OQTF soit dans leur pays d'origine (quand on sait lequel, si papier ?), soit dans le dernier pays qui les a accueilli et laisser passer illégalement. Cela ne suffira évidemment pas à désengorger toutes nos prisons en France, mais au moins cela fera clairement passer le message aux potentiels agresseurs, escrocs, drogués, malfrats ou autres, qu'ici comme au delà de nos frontières, on ne plaisante pas ! Frontières qu'il faut absolument réaffirmer en passant... surtout commercialement plutôt que physiquement avec barrages routiers inutiles.
Et enfin ou surtout, mettre en place des mesures concrètes de PROTECTION DES VICTIMES avec suivis psychologiques gratuits (réalisés par exemple avec l'aide d'étudiant.e.s en psychologie ou bien d'anciennes victimes ou membres bénévoles formés à l'écoute active & CNV ou autres) ; surtout si ce sont des femmes et enfants battus et/ou violés et torturés (SPT). A la fois les accueillir dans davantage de lieux de secours (pas forcément réunies au même endroit d'ailleurs ce qui peut être encore plus visibles et dangereux pour elles), mais en priorité les maintenir chez elles avec caméras, détecteurs, chiens d'attaques et services de sécurité H24 s'il le faut ! Cela afin d'assurer le maintien des victimes dans leurs lieux de vie, poursuivre la scolarité des enfants, leurs activités habituelles et maintenir les liens familiaux et amicaux autour, ainsi que la garde des animaux de compagnie, etc. Sachant qu'heureusement dans la majorité des cas ces hommes violents sont beaucoup trop lâches pour s'en prendre à aussi, ou plus, fort qu'eux. Quant aux vrais psychopathes viol-ents qui risquent réellement (vu leurs actes antérieurs) à passer à l'acte final et assassiner femmes et enfants, il est plus que temps qu'enfin on les colle là où il devrait être depuis longtemps : soit en prévention en HP, sous bracelet électronique très loin de leurs victimes ou sinon carrément en prison !
Encore une fois LA PEUR DOIT CHANGER DE CAMPS pour que le/la manipulateur-trice lâche enfin sa proie et s'éloigne d'elle à temps ! Il reste anormal, encore au XXIème siècle, que ce soit le plus souvent aux victimes et/ou leurs familles de déménager et quitter leur domicile et/ou travail, foyer familial en location ou propriété voir même carrément le pays, pendant que leur bourreau, criminel ou délinquant, continue tranquillement sa vie et puisse sévir encore, viol-enter, harceler et persécuter ou même au final assassiner passante ou petite amie, mère, grand-mère, soeur, épouse ou concubine et/ou enfant et adolescent ou autres. Et qu'on ne nous disent pas que c'est impossible parce qu'il n'y a pas assez de volonté oud'argent dans les caisse de l'état pour mettre en place tout cela tant que des miliiards d'euros ou dollars seront dilapidés, nos données personnelles et argent public fournis à des multinationales étrangères comme BIG PHARMA, BIG DATA, BIG BANKA et BIG BROTHER & OTAN pour organiser des guerres coloniales elles-mêmes criminelles, bombes ou "essais" nucléaires créant des écocides & génocides planétaires !
Espérons donc que les générations futures auront plus de courage et ténacité afin d'imposer déjà le RIC : Référendum d'initiative Citoyenne et appliquer enfin un autre modèle de société l
Articles, Vidéos et conférences :
"Coupables d'avoir été victimes : quand la Justice déraille" un reportage réalisé par Armel Joubert des Ouches (1h21) de l'Institut Pour la Justice du 24 janvier 2022 : https://youtu.be/-w693UG9ZrE
"Escroqueries immobilières : quand le rêve tourne au cauchemar" du Magazine Nexus, du 21 mai 2024 : https://youtu.be/HZ4Pb7AJ1GE
"OQTF, danger ?" reportage de Vivre Sainement du 8 mai 2024 : https://youtu.be/jIAfN1orrbE ou si censuré encore sur : https://odysee.com/@Vivresainement:f/oqtf%2C-danger:5
"Nouveau Squat : Elle Se Fait Justice Elle Même !" de DME en direct le 23 mai 2024 : https://youtu.be/0oA5HixVCnQ
"Il y a des baisodromes" : Pascal Praud choqué par les révélations d'un surveillant pénitentiaire", interview durant l'émission radio d'Europe 1 : https://youtu.be/RSRwtO_if_4
"Euthanasie : la colère des juristes et des pharmaciens contre ce projet de loi" interviews sur Ligne Droite du 23 mai 2024, de pharmacien.ne.s en colère comme Estelle Bailbe, pharmacienne à Lyon, Blanche Streb, docteur en pharmacie et Nicolas Bauer, chercheur associé à l'ECLJ (le Centre européen pour le droit et la justice). : https://youtu.be/7R3WMhUIGqY
"Les solutions concrètes pour lutter contre la tyrannie qui vient - Louis Fouché" interview du Dr Louis Fouché sur Tocsin le 5 avril 2024 : https://youtu.be/iUvf4D5i_d8
"Etienne Chouard: "Le suffrage universel pour élire des maîtres ? Ils se foutent de notre gueule !" interview par Karl Zéro Absolu le 22 avril 2024 : https://youtu.be/VZgK41z1gAw
Livres cités en référence :
"Je vous laisse juges... Confidences d'un magistrat qui voulait être libre" de Luc FERMIOT, éditions Michel Lafon, 2014
"La Guerre secrète contre les peuples", de Claire SEVERAC, éditions Kontre Kulture, 2015
"Kleptocratie française : Comment les dépôts bancaires, cotisations sociales et avantages sociaux ..." d'Eloise Benhammou, éditions le Jardin des livres, 2016
"La Caisse Des Dépôts - Enquête Sur Le Coffre-Fort Des Français", de Sophie COIGNARD & Romain GUBERT, éditions Seuil, 2017
"L'Ennemi de l'Interieur: Derives Et Dysfonctionnements de la Police Nationale" de l'ex policier et syndicaliste de Vigie Police, Alexandre LANGLOIS, Talma éditions, 2019
"Les Voraces & La Mafia d'Etat" Vincent JAUVERT, éditions Robert Laffont & Seuil, 2020 & 2021
"Tous résistants dans l'âme, éclairons le monde de demain" du Dr Louis FOUCHE sur la crise sanitaire COVID, aux éditions Guy Trédaniel, 2021
"Chronique du totalitarisme, psychopathologie du totalitarisme", d'Ariane BILHERAN, éditions d'auteur Bookelis, 2021
"Le Ministère de l'Injustice", de Jean-Michel DECUGIS, Pauline GUENA & Marc LEPLONGEON, aux éditions Grasset & Fasquelle, 2022
"Les Démasqués, Qui dirigent réellement le monde ?" de Claude JANVIER, KA'Editions, 2023