La contraception
en question
La contraception féminine avec ou sans hormone
Voici un documentaire également très intéressant sur les effets secondaires cachés des médicaments et notamment ceux conçus spécifiquement pour les femmes adultes et les adolescentes à base d'hormones de synthèse comme la célèbre pilule contraceptive qui indéniablement ne pourra ensuite, à court, moyen ou long terme, que perturber notre physiologie donc santé, agir sur notre libido et surtout sur nos capacités reproductives, nos gènes et constitution foetale. Sachant qu'en plus tout dépend également de ce qu'auront pris les générations de femmes avant vous, comme les scandales du Distilbène ou de la Dépakine ci-contre nous l'ont déjà prouvé : "Contraception : cette pilule qui ne passe plus" (vidéo censurée sur YouTube) à retrouver sur la RTS : Radio Télévision Suise pour l'instant : 36.9° - Contraception: cette pilule qui ne passe plus / Dépakine, un scandale sans fin et sans frontière! - Play RTS
Voilà pourquoi il existe désormais de nouvelles attentes des jeunes femmes plus "éco-responsables" aussi de trouver de "nouvelles" ou plutôt de revenir aux "anciennes" méthodes de contraception d'autrefois telles que le préservatif féminin ou masculin, le stérilet au cuivre ou la courbe de température... ET (on l'ouble trop souvent aussi) d'espacer naturellement les naissances grâce à la prolactine naturelle libérée durant l'allaitement et qui inhibera physiologiquement les montées d'oestrogène et de progestérone tant que bébé SANS tétine, ni biberon, sera allaité exclusivement jour et nuit (minimum 4 ou 6h durant 1 ou 2 ans... et encore cela dépend de chacun.e aussi).
Bref, il s'agit en réalité de légitimes inquiétudes et critiques de plus en plus acerbes d'ailleurs vis à vis des propositions gynécologiques ou plutôt impositions autoritaires, conseils et consignes trop stricts, réflexions méprisantes, déplacées ou bien actes brutaux et viol-ences de leurs gynécologues obstétricien.ne.s (hommes ou femmes d'ailleurs) qu'elles osent désormais dénoncer publiquement sur les réseaux sociaux ou autres en tant que "violences gynécologiques et obstétriques", notamment avec le hashtag #balancetongyneco.
Voilà pourquoi on ne cessera jamais de le répéter aux femmes : seules les SAGES-FEMMES sont en premières intentions les meilleures professionnels de santé pour vous parler et réconforter, vous conseiller au cas par cas sur votre contraception ou pas, vous aider à (re)devenir fertile ou stérile et suivre ainsi tout au long de votre vie sexuelle (de l'adolescence à la ménopause et plus pour la réducation périnéale), vous proposer des plantes adaptées (HE, homéopathie, acupuncture, etc.). Voir même vous proposer la pose d'un sérilet si besoin, faire une échographie sur place ou bien sinon vous envoyer au laboratoire et centre de radiologie ou chez un médecin ou expert gynécologue obstétricien qui lui (ou elle) en tant que chirurgien ne devrait jamais quitter l'hopital ou la clinique afin de rester au plus près d'une salle d'opération puisque c'est sa fonciton première : sauver des vie grâce à la chirurgie et pas faire de la physiologie à leur place !
Surtout qu'on le voit bien encore ci-contre aucune prise d'une pilule quelle qu'elle soit n'est inoffensive, ni anodine ! Cela peut même, sans qu'on s'en rende réellement bien compte, totalement changé nos désirs, pulsions, émotions et pensées selon nos cycles hormonaux et phéromones humaines autour, donc nos relations par nos répulsions ou attirances sexuelles et donc bien évidemment nos paradigmes sociaux via la reproduction et reproductivité de l'espèce humaine aussi. Ce n'est donc pas rien quand même !
Ce qui ne veut pas dire non qu'il ne faut rien prendre comme moyens contraceptifs à moins de vouloir être enceinte plus ou moins rapidement (et à notre avis ce sera plutôt l'inquiétude et recherche des futures générations mises sous hormones chimiques beaucoup trop tôt et longtemps aussi) mais qu'il faut trouver, comme d'habitude, ce qui vous convient personnellement le mieux, sans être influencée non plus négativement par qui que ce soit !
Bref, que ce soit la prise quotidienne d'une pilule hormonale (œstrogène et/ou progestérone) orale ou par implant ou patch, gel spermicide avec ou sans diaphragme, stérilet hormonal ou au cuivre, anneau hormonal dit "préservatif féminin" ou bien la symptothermie à suivre sur application smartphone, la ligature des trompes... rien n'est parfait ! Cependant depuis le scandale des pilules dites de "3ème générations", cela a fait prendre conscience aux femmes que les méthodes hormonales pouvaient également être très invasives, handicapantes voir même potentiellement toxiques et surtout qu'il n'étaient absolument pas bon de les prendre toute leurs vies, ni être en plus les seules à assumer tous les risques et inconvénients à la place des hommes.
SCANDALE DES IMPLANTS CONTRACEPTIFS : les femmes toujours traitées comme des cobayes !
Lancés sur le marché en 2002 et proposés aux femmes souhaitant s’orienter vers une contraception définitive, les implants Essure, alternative à la ligature des trompes, sont de simples ressorts dont la pose s’effectue très rapidement et sans anesthésie. Tellement facile…Et pourtant ces petits morceaux de métal ont bouleversé vie de dizaines de milliers de femmes, en France et dans le monde. Fatigues intenses, douleurs chroniques, hémorragies, troubles musculosquelettiques, cardiovasculaires, ou du système nerveux… Leur quotidien est devenu un enfer. Autorisé en Europe grâce à un procédé de marquage particulièrement laxiste, l’implant Essure est retiré de la vente en 2017, au terme d’une saga où se mêlent dénis corporatistes, conflits d’intérêts et défaillances des autorités sanitaires…
En France, aujourd’hui, 30 000 femmes ont déjà été obligées de se faire retirer ces implants au prix de mutilations violentes (ablation de l’utérus…). Et, souvent, sans que leur santé ne s’améliore. Tandis que Bayer a indemnisé « à l’amiable » 39 000 patientes américaines pour un montant de 1,6 milliard de dollars, en France, le volet judiciaire s’ouvre enfin, avec des plaintes au pénal. Parmi les plaignantes, Anne-Cécile Groléas, implantée en 2013, dont la parole scande les chapitres, offrant une voix à la souffrance de toutes ces victimes. Menée par deux journalistes indépendantes, cette enquête implacable révèle l’incurie et le déni des souffrances dans cette affaire, et met en lumière les raisons pour lesquelles, bien trop souvent, les principales victimes des maltraitances et scandales sanitaires sont les femmes.
"Au mépris du corps des femmes - Le scandale des implants Essure" livre de Delphine BAUER et Jacqueline MAURETTE, éditions Atelier, 2022 : https://editionsatelier.com/boutique/accueil/369-au-mepris-du-corps-des-femmes-le-scandale-des-implants-essure-9782708253742.html
Comme des millions de femmes à travers le monde et 200 000 patientes implantées en France par les implants ESSURE (de Bayer-Monsanto retiré du marché en 2017 en France et 2018 aux USA), Laurence, maman d'un enfant de 18 ans aujourd'hui, a été aussi une des nombreuses victimes des implants Essure après avoir sollicité une ligature des trompes. Ne souhaitant plus ni enfant, ni contraception à l'époque (toujours en procès en 2024).
Anne-Cécile GROLEAS est une des plaignantes du livre ci-contre : "Au mépris du corps des femmes : "le scandale des implants essure" de Delphine BAUER et Jacqueline MAURETTE.paru en 2022 aux éditions Atelier et qui retrâce, entre autre, son parcours depuis son opération à vif (sans anésthésie) lorsqu'elle avait environ 32 ans parce que son gynécologue leur avait refusé à elle une ligature des trompes (risque de cancer de l'utérus) et à son mari une vasectomie. Toutes deux nous racontent non seulement leur enfer depuis mais aussi celui de milliers de femmes (plus de 40 000 se sont faites "désimplantées" d'ailleurs) en France, toujours traitées comme des cobayes humains par des charlatants sans scrupules, ni remords. Et qui font passer, par contre, d'autres professionnels de santé radiés ou suspendus comme ci-dessous Nicolas BOUVIER et Eve ENGERER (Bas-Rhin aussi) pour les mauvais soignants ! LE MONDE A L'ENVERS, du VICE & VERSA !
Cela nous rappelle étrangement pleins d'autres scandales sanitaires dont celui du DISTILBENE, des implants mammaires et surtout des pilules de 3ème générations dont plus personne ne parlent non plus !
Le scandale du Distilbène
"Le Distilbène est une oestrogène de synthèse qui a été prescrite à 200 000 femmes enceintes en France entre 1948 et 1977 pour prévenir les fausses-couches. Mais chez les filles qu'elles portaient, cette molécule a provoqué des malformations génitales, des problèmes d'infertilité, des grosses compliquées et des cancers particuliers du col de l'utérus, du vagin et du sein."
Liste des article de l'Express paru le 27/11/2014 "Le scandale du Distilbène" : https://www.lexpress.fr/sciences-sante/sante/le-scandale-du-distilbene_1626625.html
Infertilités et malformations utérines transmissibles d'ailleurs de mères en filles probablement sur plusieurs générations...
"Distilbène : des mots pour un scandale", de Véronique Mahé, éditions Albin Michel, 2010
La contraception masculine, on en est où ?
Visiblement c'est plutôt du côté des hommes que viendra probablement les plus importants progrès en matière de contraception masculine qui à part le fameux préservatif en latex n'a guère évoluer depuis l'antiquité, du temps des égyptiens même, comme pour sa petite soeur le fameux "stérilet en cuivre" retrouvé dans des momies : https://www.filsantejeunes.com/histoire-du-preservatif-5141
Cette vidéo de Blast est d'ailleurs également très instructive pour révéler cet autre tabou social et "scandale de la contraception masculine" ci-contre, que ce soit au sujet des progès de "nouvelle pilule pour homme" en gestation ou de "slip chauffant" peu développés encore par les autorités sanitaires et lobbies pharmaceutiques parce qu'ils rapportent moins déjà car ils effraient sérieursement ces "messieurs" quant aux potentiels effets secondaires ensuite, notamment sur leurs érections et capacités reproductives... Comme pour nous, n'est-ce pas "mesdames", mais nous on sait bien qu'on peut et surtout qu'on doit absolument tout supporter sans rien dire aux risques sinon de passer pour des chochottes trop sensibles et fragiles, c'est bien connu ! Oubliant par là même que c'est bien nous encore (même si des femmes "trans-masculines" enceintes prétendront le contraire) qui mettons au monde dans la douleur l'autre moitié de l'humanité.
Vidéos, documentaires et livres :
36.9° - Contraception: cette pilule qui ne passe plus / Dépakine, un scandale sans fin et sans frontière! - Play RTS : https://www.rts.ch/play/tv/36-9/video/contraception-cette-pilule-qui-ne-passe-plus--depakine-un-scandale-sans-fin-et-sans-frontiere?urn=urn:rts:video:9090735
"La pilule contraceptive a des effets sur votre cerveau que vous ignorez peut-être" de LeHuffpost, le 29 janvier 2020 : https://youtu.be/pniB6idV0CM
"Au mépris du corps des femmes - Le scandale des implants Essure" livre de Delphine BAUER et Jacqueline MAURETTE, éditions Atelier, 2022
"Le scandale des implants essure : Le témoignage de Laurence et Anne-Cécile Groleas" entretien sur la chainte YT de Nicolas BOUBIER (soignant suspendu) et du DR Eve ENGERER (ex médecin à Wangenbourg-Egenthal dans le Bas-Rhin, radié en 2021 pour refus de port du masque et injections vaccins), interview et témoignages diffusés le 23 août 2024 : https://www.youtube.com/live/sOxMV6NIIxQ
Article de France 3 du 18.03.2021 : "Bas-Rhin : Ève Engerer radiée par l'Ordre des médecins, elle fournissait des attestations pour ne pas porter le masque" ; https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/bas-rhin/selestat/bas-rhin-eve-engerer-radiee-par-l-ordre-des-medecins-elle-fournissait-des-attestations-pour-ne-pas-porter-le-masque-2005168.html
Article de l'Express paru le 27/11/2014 "Le scandale du Distilbène" : https://www.lexpress.fr/sciences-sante/sante/le-scandale-du-distilbene_1626625.html
"Distilbène : des mots pour un scandale", de Véronique Mahé, éditions Albin Michel, 2010
"LE SCANDALE DE LA CONTRACEPTION MASCULINE" de Blast, Le souffle de l'info du 8 décembre 2021 : https://youtu.be/1sbsp_pNGIo
BD "Les contraceptés - Enquête sur le dernier tabou" de Guillaume Daudin et Stéphane Jourdain, Éditeur Steinkis, 2021