L'avortement & les luttes féministes

Les "pro-life" contre les "pro-fem" :  refuser les extrèmes et dérives sectaires !

D'abord PROTEGER les femmes & filles des influences néfastes de leur entourage

Personne ne devrait influencer les choix personnels des femmes, mères ou futures mères ! Ni son conjoint, ni son père ou futur père du bébé, ni son grand-père, ni sa propre mère et future grand-mère, ni sa cousine, tante, ami.e,, ni son patron ou collègue de travail,  ni même le maire de sa ville ou village, ni le Ministre de la Santé, Famille ou Education, ni aucun professionnel de santé (sage-femme, puériculture et auxiliaire, infirmière, médecin, pédiatre, gynéco, etc.) ou de la petite enfance comme le REP (Relais Petite Enfance, ex RAM) ni l'ASE ou assistante sociale ou maternel, ni l'éducateur-trice autour d'elles, ni les voisins, autres parents ou parfaits inconnus dans la rue ou dans les réseaux sociaux, ni même les militants "pro ou anti", parents ou professionnels bénévoles des associations comme la notre... absolument PERSONNE ! 

L'importance de soutenir aussi le LIBRE CHOIX d'avorter dans de bonnes conditions sanitaires

Que ce soit pour poursuivre ou non sa grossesse, garder ou non ce ou ces enfant.s-là (si jumeaux ou plus, handicaps ou pas, accident, viol ou grossesse adolescente ou trop âgé et "risquée", désirée ou non, abandon du père et/ou famille, sans ressource, ni logement, par conviction religieuse ou sectaire, etc.) et avorter volontairement et consciemment ou pas ou préférer accoucher couchée ou non à la maternité ou chez soi (AAD ou ANA), sous péridurale ou pas, par voie basse ou césarienne programmée ou non, allaiter immédiatement au sein ou pas ou bien ne préférer donner dès le départ que des biberons de laits industriels ou maternels (avec tire-lait), sevrer bébé.s ou non avant ou après le travail et/ou diversification alimentaire ou pas, reprendre ou pas le travail à 3, 6, 9 mois de l'enfant (ou plus) ou bien ne pas reprendre du tout son travail pour élever son ou ses enfants soi-même et préférer rester à la maison et y travailler ou pas, etc. etc. etc.  A chacun.e sa vie, à chacun.e ses choix ! 

On ne cessera jamais assez de le rappeler ici : s'il s'agit bien en priorité de NOTRE santé et vie comme de NOS choix, nos corps donc nos petits d'abord, PERSONNE ne devrait donc se permettre de (mal) juger et encore moins d'influencer les femmes, mères ou futures mères pour leur faire changer d'avis ! 

Et pourtant régulièrement c'est ce que TOUT LE MONDE FAIT AUX FEMMES & FILLES sans se rendre compte à quel point cette attitude intrusive, voir même agressive, violente et menaçante dans certain cas, peut déstabiliser, apeurer, fragiliser et rendre hésitante, peu sûre de soi (manque de confiance et d'estime de soi), dépendante et soumise la grande majorité des femmes, filles, mères et futures mères sur cette planète ; ce qui présentent quand même plus de la moitié de l'humanité sous l'emprise de l'autre moitié. Et quand on dit l'autre moitié, ce n'est pas toujours que par des hommes de pouvoir (ou non) sur des femmes "plus fragiles" ou "dociles", mais aussi par d'autres femmes de pouvoir (ou non) qui agissent elles-mêmes avec autorité et surtout autoritarisme, sous l'influence du pouvoir patriarcat machiste  dit "masculiniste". 

Encore une fois c'est dans le milieu familial, professionnel, sectaire/religieux et médical que cela se ressent le plus. En effet, toutes ces "bonnes âmes" ou dévots/dévotes ou bigots/bigotes "bien intentionnés" ne peuvent pas s'empêcher de tenter de manipuler autrui, selon leur métier, position sociale et hiérarchique afin d'exercer leur pouvoir et tentative de domination sur les femmes et enfants. Déjà en assénant des affirmations et opinions fermées, en donnant directement et rapidement leurs avis biaisés par leurs propres idées reçues, expériences personnelles ou savoir-acquis (pas toujours réactualisés d'ailleurs), suivant des règlements et protocoles rigides non individualisés, des conseils & consignes strictes avec jugements hâtifs, sans empathie ni écoute préalable, ni arguments et informations justes, contradictoires et détaillées.  

3 lois fondamentales pour la libération sexuelle et sexiste des femmes

Si indiscutablement ce fut un réel progrés social pour la santé et l'émancipation des femmes que la légalisation de l'avortement en France ou plus exactement loi sur l'IVG : Interruption Volontaire de Grossesse dite "loi Veil" en hommage à l'une des premières femmes ministres française sous le président Valérie Giscard d'Estaing (UMP dit de "droit"e) et qui plus est Ministre de la Santé d'alors : Simone VEIL (1927-2017) rescapée juive des camps nazis d'Auschwitz (Une vie, éditions LgF, 2009), il ne faut pas oublier non plus que ce fut juste la levée d'une INTERDICTION formelle d'avorter sous peine de poursuites pénales graves (loi 317 du Code Pénal napoléonien de 1810), imposée aux femmes & filles soumises encore au patriarcat par des hommes de pouvoir, post-révolutionnaires (donc dit "républicains"), issus des loges élitistes franc-maçonnes, ploutocrates colonialistes donc racistes, sexistes, capitalistes et réactionnaires.  Et toutes les campagnes "anti avortement" qui s'en sont suivis n'en ont chaque fois été que des émanations... 

Article 317 (abrogé) dans la section crimes et délits : https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006490192/1984-01-01

Quiconque, par aliments, breuvages, médicaments, manoeuvres, violences ou par tout autre moyen aura procuré ou tenté de procurer l'avortement d'une femme enceinte ou supposée enceinte, qu'elle y ait consenti ou non, sera puni d'un emprisonnement d'un an à cinq ans, et d'une amende de 1.800 F à 100.000 F.

L'emprisonnement sera de cinq ans à dix ans et l'amende de 18.000 F à 250.000 F s'il est établi que le coupable s'est livré habituellement aux actes visés au paragraphe précédent.

Malheureusement et même étrangement, à moins d'avoir la chance de retomber sur les anciennes publications du Code Pénal, il ne reste plus beaucoup de traces sur Légifrance de cette loi Veil (version initiale) comme on peut le voir ici à partir des différents changements opérés entre 1980 puis 2001 et 2024 : 

Il est d'ailleurs déplorable de constater qu'aujourd'hui beaucoup d'autres documents fondamentaux de ce type et même d'anciennes lois sont ainsi complexifiées sciemment par de multiples liens indirects afin de perdre ou plutôt progressivement "vaporisées" du Net et donc du Droit public : terme orwelien tiré de son roman fiction-prévision "1984" pour dire "effacer politiquement" et historiquement afin d'altérer la mémoire collective. Remarquer bien également qu'incidieusement nos parlementaires H/F "bien intentionnés" (n'oubliez pas les mêmes franc-maçons toujours "républicain.e.s" et capitalistes de droite dans les les faits mais désormais aussi socialistes zécolos de gauche dans les paroles) abrogent progressivement un article puis deux plus trois, etc.   

Et ainsi fut abrogé également en 2024 le 1er Article de la célèbre loi Veil qui spécifiant d'emblée auparavant : 

"La loi garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie. Il ne saurait être porté atteinte à ce principe qu'en cas de nécessité et selon les conditions définies par la présente loi;

L'enseignement de ce principe et de ses conséquences, l'information sur les problèmes de la vie et de la démographie nationale et internationale, l'éducation à la responsabilité, l'accueil de l'enfant dans la société et la politique familiale sont des obligations nationales. L'Etat, avec le concours des collectivités territoriales, exécute ces obligations et soutient les initiatives qui y contribuent."

Remarquer bien ici qu'il n'y avait poutant pas marqué dans cette loi que parmis les obligation nationales il y avait l'accueil d'un  "foetus", ni même d'un "embryon" mais bien d'un "enfant" né à terme,  techniquement parlant d'un être humain normalement constitué sorti de l'utérus d'une femme. Là-dessus on est tous unanimement d'accord ! C'est sur le droit de vie ou non au foetus et embryon non désiré par sa mère biologique dont il est question avec l'IVG, pas des bébés de 6 ou 9 mois ! Et pourtant c'est exactement ce que des projets de lois criminels tentent de faire passer désormais : le droit à l'infanticide in utéro d'un bébé de 9 mois, voir même avant la naissance et bientôt ce sera juste après, vous verrez ! Pourquoi ? Parce que la plupart sont des adeptes du Transhumaniste néo-eugéniste qui veulent réduire la population mondiale à 500 millions d'individus, sans dire non plus comment seront ces "individus" trans-humains.. - Voir page sur La stérilisation & l'eugénisme et L'endoctrinement sectaire ou affectif 

Quand à cette très belle autre phrase qui disait en substance que "la loi garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie", en quoi est-ce que cela pouvait contrarier ensuite tout le reste sur le droit aussi à tout être humaine (donc aux femmes) de donner ou non la vie !? Il suffisait juste à la limite de rajouter ou préciser ceci : La loi garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie et jusqu'à sa mort, ainsi que, sans influence, celui de donner ou non la vie et de choisir sa mort.  

Vous comprenez mieux maintenant pourquoi il ne faut surtout pas que nos dirigeant.e.s et représentant.e.s (souvent non élus, ni fonctionnaires imposables en plus et intouchables pénalement) touchent à notre Constitution ! Car le droit et donc nos lois sont quelques choses de beaucoup trop précieux et sacrés pour les laisser seulement gérer par les mêmes parlementaires oligarques "républicain.e.s"; franc-maçon.ne.s, néo libéraux-capitalistes ET socialistes-zecolos-féministes, wokistes, pro-transhumaniste, etc. etc. - Voir pages : Féminisme et allaitement et Homosexuel.le ou trans-genre 

La contraception, une prophylaxie de l'avortement ?

Si le féminisme de la "première vague", sous la IIIe République, était centré sur la revendication du suffrage féminin, celui de la "deuxième vague", dans les années 1970, est focalisé sur le droit des femmes à disposer de leur corps. En 1967, une première brèche a été ouverte avec l'adoption de la loi Neuwirth libéralisant la contraception en France. Mais pour le député gaulliste Lucien Neuwirth, comme d'ailleurs pour tous les partisans du contrôle des naissances, la contraception est conçue comme une prophylaxie de l'avortement : la diffusion généralisée des moyens contraceptifs est censée faire disparaître à terme la nécessité du recours à l'avortement. Car si, depuis 1923, l'avortement n'est plus considéré comme un crime, il reste un délit puni par article 317 du code pénal (Jean-Yves Le Naour et Catherine Valenti, Histoire de l'avortement, XIXe-XXe siècle, Seuil, 2003).

 Or, contrairement à ce qu'espéraient ses partisans, la loi Neuwirth ne fait pas disparaître le recours à l'avortement clandestin. (...)

"Depuis la loi "Veil" du 17 janvier 1975, l'avortement est dépénalisé. C'est-à-dire qu'il n'est plus sanctionné par la loi. Ce droit constitue aussi une avancée majeure en faveur du droit des femmes à disposer de leur corps et à maîtriser leur fécondité." : https://ivg.gouv.fr/le-droit-lavortement

Surtout que cette loi napoléonienne infâme avait encore un siècle plus tard, d'énormes répercussions au niveau social sur les femmes majeures ou filles mineures, les couples (ou non), les familles que ce soit au niveau sanitaire (risque de mourir lors d'IVG ratés par des "matrones" ou charlatans non formés ou bien de finir stériles ou handicapées...), au niveau sexuel (ablations et mutilations, castrations et traumatismes (SPT), frigidités et infertilités ou au contraire mutiplications de grossesses précoces ou non désirées pour raisons financières, personnelles, professionnelles ou suite à des viols y compris conjugaux, obligation de garder des foetus malades, difformes et donc handicapés à vie...), au niveau politique et professionnel (pas d'accès possible à certains métiers dit "d'hommes" à cause de grossesses multiples, y compris au poste de présidente, ministre, médecin ou avocate, donc exclusion familiale des "filles mères" ou "femmes divorcées ou répudiées", justes bonnes alors pour le ménage, le bordel ou le couvent, car sans ressources possibles elles se retrouvaient de fait exclues socialement  de toutes les activités publiques...), au niveau religieux et spirituel (enfermement physique et psychologique des femmes soumises à leurs familles, pères puis maris ou fils, restraintes aux cloîtres, maisons closes, dispensaires ou hôpitaux psychiatriques, prisons, usines ou foyers avec moins d'interactions extérieures que les hommes donc plus d'inégalités et moins de solidarités et libertés encore....). Un véritable cercle vicieux de l'esclavagisme sexuel !   

En réalité, malgré le narratif officlelle encore en 2020 qui tend à vouloir l'imposer constitutionnellement (par les mêmes masculistes et faux "républicain.e.s frans-maçon.ne.s, capitalistes réac, etc.) cette loi Veil n'a évidemment pas suffit immédiatement à elle seule à libérer les femmes de la domination masculine qui les enfermaient et cloisonnaient en gros : au foyer, à l'usine ou au bordel. 

D'ailleurs deux autres lois beaucoup plus importantes pour les droits des femmes (dont on parle beaucoup moins les médias mainstream car faisant moins polémiques alors) fut d'abord : 

"La loi du 13 avril 1946 tendant à la fermeture des maisons de tolérance et au renforcement de la lutte contre le proxénétisme, dite loi Marthe-Richard, abolit le régime de la prostitution réglementée en France depuis 1804. Elle impose la fermeture des maisons closes (« maisons de tolérance »). La loi porte le nom de Marthe Richard, alors qu'elle est conseillère municipale de Paris et non parlementaire. La loi bénéficie du climat ambiant, la plupart des tenanciers proxénètes étant considérés comme impliqués dans la collaboration durant la Seconde Guerre mondiale et l'occupation allemande." https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_Marthe_Richard

Loi d'abord contre le proxénétisme et le racolage sur la voie publique mais toujours pas la prostitution en elle-même (par exemple autorisation si cachée donc hypocrisie totale surtout fiscale comme par exemple via la téléphonie, internet ou de multiples autres réseaux plus ou moisn légaux et mafieux...), ni surtout contre les clients des prostitué.e.s (simple amende encore), et qui n'aboutira qu'en 2014 à un simple "Avis" renforçant une proposition de loi toujours pas votée... comme par hasard ! : https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000029075447

Encore une fois il ne s'agissait pas ici d'autoriser et favoriser enfin dans les années post-68 d'avoir recours aux nouveaux moyens de contraceptions féminines et masculines mais bien d'ôter un INTERDIT... Selon le célèbre slogan publicitaire hippies d'alors : "Il est interdit d'interdire" et la pseudo "libération sexuelle" des hommes sur les femmes, puisque ce sont surtout eux en réalité qui en ont profité le plus à cette période débridée de notre histoire. Parce que malheureusement les mêmes clichés genristes sexistes continuaient et continuent encore d'exister autant au niveau de la répartition des tâches ménagères et de l'éducation des enfants & co, que de l'argent et dépenses du foyer ou de celles des communautés hippies à fonctionnement tout aussi sexiste et sectaire encore une fois avec quelques mâles dominant et forniquant avec plusieurs femelles sous hormones de syntèse ou bien enceintes ou avortant quasies simultanément. Ou comment populariser grâce à l'américanisme et à sa propagande holywoodienne et musicale du "Sex, drogue & Rock'n Roll" : le vice, la pédophilie et pornographie, le proxénestisme, la prositution, l'échangisme et l'adultère pour mieux réussir ensuite à les banaliser en Occident sous des apparences progressistes et libérales trompeuses et autres termes cajoleurs et enjolivés derrière "le Strass et les Paillettes" hallucinatoires des mafieux revendeurs de drogues et de putes, d'industriels du sexe et pornographie ET de médecins eugénistes associés aux laboratoires mercantiles... 

Les revendications égalitaires et légitimes des femmes ne datent pas d'hier :

"L'histoire du féminisme commence dans la seconde partie du XIXe siècle, lorsque le mot féminisme apparaît sous la plume d'Alexandre Dumas fils puis sous celle d'Hubertine Auclert. Cependant, dès la fin du Moyen Âge, des auteurs critiquaient la place accordée aux femmes dans la société. Le discours féministe, à partir de ce moment, met plusieurs siècles pour s'élaborer et s'afficher comme un mouvement revendiquant, dans un premier temps, l'égalité civique et civile des femmes et des hommes puis une libération des femmes du carcan patriarcal." https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_f%C3%A9minisme et en vidéo : https://youtu.be/jxhDCYArgOE

"L'histoire du féminisme et du MLF" (en 2 parties ci-dessus) Archives de l'INA Société datant du 2 juillet 2012 et du 7 septembre 1998 sur la "Condition de la femme : Historique du mouvement des femmes pour l'égalité grâce à des images d'archives, des photos et des gravures" dès la révolte des suffragettes anglo-saxonnes pour le droit de vote au Royaume-Uni en 1928. Mais en France il faudra encore patienter 17 ans de plus. "A l'occasion du 30ème anniversaire du Women's lib aux Etats Unis, rétrospective des grandes dates du mouvement des femmes. Il est composé essentiellement d'images archives INA. (Actualités françaises)" Ce n'est donc qu'en 1945 que le droit de vote sera accordé aux femmes en France et à partir de là tous les combats féministes qui suivront seront politiques, juridiques et partisans (parties = dualité et division droite/gauche) donc par définition totalement clivant : https://youtu.be/TUCV5IjcBdg

Bien S'IN-FORMER pour mieux se DE-FORMER et savoir ensuite ce que l'on fait, pour quoi et pour qui on le fait ?

Relevons au passage d'ailleurs que c'est aussi à ce moment là qu'heureusement les accouchements à domicile (AAD) se sont de nouveau développés en France, en même temps par contre que les viols sur mineures ou majeures et les avortements clandestins qui avaient alors beaucoup augmentés depuis la Seconde Guerre Mondiale, ce qui avait poussé des intellectuelles, ministres, actrices, stylistes ou auteuses célèbres hétéros, lesbiennes, pro pédos ou autres comme la philosophe et romancière Simone de Beauvoir (1908-1986), la styliste Coco Chanel (1883-1971), la pédopsychiatre Françoise Dolto (1908-1988)  ou la journaliste Françoise Giroux (1916 - 2003) à s'en émouvoir et révolter... Même si la principale militante féministe engagée, prenant tous les risques malgré l'avis de ses consoeurs féministes et notamment du MLF d'ailleurs) fut indiscutablement la célèbre avocate tunisienne, Gisèle HALIMI avec son association "Choisir le Cause des Femmes" (crée en juillet 1971) suite à la publication du "Manifeste des 343 salopes" harcelées par la suite, puis du célèbre procès médiatique de Bobigny : https://www.vie-publique.fr/parole-dexpert/287131-les-proces-de-bobigny-1972-pour-avortement-gisele-halimi 

Même si Gisèle HALIMI comme beaucoup de féministes de l'époque se trompaient en disant que l'instinct maternel n'existe pas et que l'allaitement et la maternité ne sont pas des sources d'épanouissement suffisants, de transmission intergénérationnelle et d'initiation féminine et spirituel ! Ce n'est pas parce qu'elles-mêmes n'ont malheureusement pas ressenti et développé cela (travaillant beaucoup pour s'émanciper et aider autant les femmes opprimées que les opposants tunisiens et opprimés également) que cela n'existe pas ! c'est un peu comme si une femme n'ayant jamais connu l'orgasme sexuel affirmait avec conviction et véhémence, que cela n'existe pas ! 

Par contre, de l'autre côté, il est aussi important de bien mieux s'informer sur les réels conséquences de ses actes, sans être ni dans le déni ni minimiser non plus les conséquences et risques physiques pour sa vie et santé comme celle du ou des bébés à naître comme sur conséquences et risques psychologiques qui vont nécessairement en découler. 

Et à ce niveau là, on ne peut que donner raison à certaines associations "pro-life" qui sont les seules à alerter les femmes sur les inconvénients et pas que sur les avantages de recourir aux IVG (Interruption Volontaire de Grossesse) médicamenteuses ou chirurgicales que ce soit à tel ou mois de gestation. https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1551

Le soucis avec les "pro life" étant souvent moins dans le fond que dans la forme... Car s'il est inadmissible d'interdire à une jeune adolescente désemparée comme une femme mûre violées ou juste abusées chacune et abandonnées ensuite par leurs compagnons d'un soir ou de plusieurs mois ou années de relations amoureuses, il est tout aussi inadmissible de chercher à les culpabiliser, harceler et de leur interdire l'accès à des soins, personnels et lieux d'accueil sécurisés et aseptisés ! Sachant que toutes façons, et comme on le voit d'ailleurs partout, elles auraient fini soit par avorter clandestinement avec toutes les conséquences sanitaires et vitales pour elles et pour l'enfant, soit par l'abandonner à la naissance et grossir ainsi les orphelinats, centre ou familles d'accueil (pas toujours compétents, ni bienveillants eux-mêmes), soit plus tard et augmenter le nombre des pupilles de la nation aux frais des autres contribuables... ce qui n'est guère mieux pour nos finances publiques !

Alors dans ce cas là autant donner aux filles mères ou aux mères de familles nombreuses directement l'argent pour mieux élever elles-mêmes leurs enfants ou les enfants des autres femmes actives à l'extérieur, non !? Non seulement la démographie française ne s'en porterai  que mieux, mais de nouveau une sororité féminine reverait le jour entre les femmes souhaitant s'épanouir à l'exterieur de chez elles et faire ainsi avancer l'image positive et la cause des femmes actives dans l'espace public et de l'autre celles qui souhaiterai durant un temps limité ou pas rester travailler chez elles et mieux éduquer elles-même leurs enfants et ceux des autres femmes à l'occasion en réfléchissant ensemble à l'éducation non violente, l'instruction interfamille (ou non), l'écologie domestique... et en faisant ainsi évoluer aussi à leur niveau l'image positive et la cause actives des femmes dans l'espace privé. D'antant plus quand on sait et constate que la charge mentale, l'éducation des gosses, les courses et les tâches ménagères ne sont pas plus partagés dans les couples des femmes travaillant à l'extérieur ou à l'intérieur de chez elles. C'est plus une attitude mentale qu'une simple histoire de qui "ramène l'argent à la maison"... même si le travail externe des femmes au XXIème siècle à contribuer indiscutablement à leur émancipation notamment en cas de divorce ou séparation.

Car il faut toutes rester conscientes que durant le XXème siècle TOUT a été fait pour TOUT INVERSER par le Vice-et-versa et détruire progressivement nos repères moraux et sociétaux pour faciliter en priorité les divorces et abandons du domicile familiale aux bénéfices des hommes adultères et/ou pervers narcissiques (PN) et ainsi contribuer à légaliser bons nombres de fantasmes sexistes, désirs de domination et de vices masculinistes au XXIème siècle grâce à des lois incitatives à la selections des sexes, des genres et des races (eugénisme dissimulé sous des termes comme l'"épigénétisme", le "trans-humanisme" ou "transgenrisme"...), de même que faciliter l'adoption par des riches occidentaux des bébés ou enfants de pauvres orientaux, africains ou autres... De développer et légaliser les manipulations génétiques grâce aux FIV : Fécondation In Vitro (à limiter en même temps que les PE : Perturbateurs Endocriniens) & GPA : Gestation Pour Autrui (esclavagisme à interdire et même criminaliser au lieu de promouvoir et vanter comme "un progrès social"). De recourir encore et toujours insidieusement à des infanticides  via l'augmentation et non diminution du taux d'avortement en Occident (souvent même sans réels consentement des femmes et filles, ni aides financières d'abord, ni soutien psychologique et physique des couples ou familles). Et même à planifier les disparitions ou vols organisés des foetus, placentas et cordons ombilicaux dans les maternités aux bénéfices des laboratoires de recherches publics ou privés, comme des multiples autres prélèvements d'organes et trafics derrière, aussi suite à des opérations chirugicales avec traitements chimiques et hormonaux, les vaccinations ou "injections expérimentales" ultra lucratives et ainsi continuer d'augmenter chaque année la mortalité suite aux presciptions de drogues illicite ET licite ainsi que les milliards de médicaments vendus dans le monde entier, etc, etc. 

Mais toujours pas, par contre, de mesures efficaces POUR LA PREVENTION et contre l'augmentation des viols en France par des OQTF étrangers ou non, et autres "criminels sexuels" (et non juste "délinquants sexuels"), des incestes et de la pédocriminalité dans l'haxagone ou "Pédoland" comme on nous qualifie (car juste du sursis aux violeurs de mineurs jugés "consentant" par des juges FM eux mêmes pervers et complaisants), surtout si en bandes très bien organisées grâce à internet, et encore moins contre le viol conjugal (ultra trabou encore), ni la mafia proxénète et pédophile et pornographie internationale, ni contre la starisation de très jeunes artistes "sexy", sexués et sexualisé.e.s à outrance (voir carrément satanistes aussi) et de jeunes mannequins anorexiques ou retouchées via IA (ou trans-vesti.e.s) affichés comme icône d'une mode "intersexe", ni "genré", "binaire" LGBTQA+ machin truc..., ni contre les féminicides et violences conjugales toujorus impunies (moultes promesses politiciennes jamais tenues, évidemment !), ni contre les mutilations sexuelles y compris dans les hopitaux et cliniques de France (épisiotomies et césariennes programmées mais aussi excisions des fillettes et circoncisions des petits garçons + transgenrisme induit maintenant). JAMAIS, par contre, ASSEZ D'ARGENT POUR LA PREVENTION notamment des risques sanitaires et effets secondaires suite au non  allaitement et à la malbouffe précoce et autres intoxications industrielles, ni évidemment pour faciliter et favoriser la naissance respectée notamment à domicile, ni pour les soins palliatifs non plus en fin de vie chez soi également. Ben non... vous comprennez cela rendrait les gens libres, conscients et heureux !! Croyez-vous que c'est ce que BIG BROTHER, BIG PHARMA, BIG HOLDING et BANKSTERS associés à BIG DATA veulent réellement ! Bien sûr que NON !

Les arguments des militants "pro-life" comme "pro-fem"

Déjà sachez ici que nous condamnons d'un côté autant les discours "pro-life" contre l'avortement comme de l'autre les discours "pro-fem" ou "pro-féministe" pour l'avortement. En fait, tout discours extrémiste et sectaire, intolérant, "Blanc" ou "Noir" et "sans nuances de gris", tenus soit ouvertement et franchement avec des propos violents, choquants ou intransigeants, soit cachés derrière de belles paroles, promesses progréssistes. Un peu du même genre que chez certains vegans ou végétaliens convaincus certes, pas forcément sans raison non plus, mais pas toujours convaincants et surtout respectueux des désirs et choix d'autrui, ni quant à leurs modes d'action, ni d'information. 

Car, dès qu'on tient des propos "pro-life" trop tranchés avec des juges hâtifs on tombe vite dans les critiques blessantes, malheureusement souvent véhiculées par des personnes pas toujours bien placées non plus pour juger et critiquer autrui, comme des hommes déjà qui ne porteront donc jamais la vie en eux, ou même des femmes âgées, cathos ou protestants intégristes alors que leurs enfants de cœurs ou scouts, "bonnes du curé", religieuses ou nonnes se font eux/elles-mêmes harcelé.e.s ou même violé.e.s en tout impunité depuis des années, voir même siècles en réalité, dans les églises comme mosquées ou synagogues également, puis engrossées dans les couvents, monastères ou autres et enfin forcées à avorter par ceux ou celles-là même qui les condamnent officiellement.

Reportage d'Arte de 2017 : "Religieuses abusées, l'autre scandale de l'Église" : https://www.arte.tv/fr/videos/078749-000-A/religieuses-abusees-l-autre-scandale-de-l-eglise/ ou https://odysee.com/@Feerika:d/Religieuses-Abus%C3%A9es-Lautre-Scandale-De-L%C3%A9glise-2017-1:a

https://www.la-croix.com/Religion/Le-Vatican-approuve-vaccins-contre-Covid-meme-derives-foetus-avortes-2020-12-22-1201131450

Terrifiantes histoires que celles de ces pauvres croyantes ou "vierges pêcheresses" abusées brutalement par des hommes d'église ou "de foi" à double jeux et langage qui n'hésitent pas pourtant à utiliser leurs pouvoirs et réseaux occultes pour corrompre ou faire pression sur les médias, mécènes et autres hommes politiques dans des pays prétendument "laïques" ou de moins en moins "religieux" et pratiquants, enfin presque ! 

On nous a longtemps reproché à nous association pro-naissance non médicalisé et pro-allaitement d'être des "ayatollahs" de la maternité "pro-vie" pour ne pas reconnaitre aujourd'hui, ni condamner ce type de discours radicaux et d'actions contreproductives, en réalité ! Alors que désormais, la majorité des membres des associations sur la naissance et l'allaitement en France se sont formés, elles comme nous, à "l'écoute active et à la relation d'aide" (de Carl Roger à Thomas Gordon : https://youtu.be/W27FAbYVVBA), notamment pour les séances de soutien et information téléphoniques mais aussi lors de réunions publiques, ce qui nous a permis à toutes d'évoluer vers plus de tolérance et bienveillance des choix car droits de chacune dans notre et leur propre parcours de vie. Ainsi, nous accueillons TOUS LES PARENTS, mères et pères comme familles, amis, professionnels ou autres, quels que soit leurs âges, races, sexes, expériences et connaissances, convictions religieuses, politiques ou autres, sans donner immédiatement de conseils, ni consignes, pas forcément bien adaptés en plus à leurs situations, mais uniquement des informations justes, car vérifiées par plusieurs sources et observateurs (pas que professionnels non plus) et contradictoires (pour/contre, bénéfices/risques, etc.).  C'est pourquoi aujourd'hui on ne peut que suggérer et non imposer à ces associations "pour la vie" et la "normalité" (physiologie aussi donc pas totalement faux non plus) de faire de même et de changer de points de vue et méthodes de communication. 

Un parfait exemple encore dans la vidéo ci-dessous (1er interview de Théovox du 17 juin 2021 en pleine "plandémie"), avec les arguments de ce militant catholique canadien "pro-life" qui sont très intéressants voir même judicieux notamment sur le lien entre cancer du sein et avortement par l'arrêt brutal ou atrophie des glandes mammaires, vu que c'est aussi ce que confirme les études internationales sur le non allaitement en post-partum, mais ses conclusions ainsi que celle du journaliste non impartiales ici, ne le sont pas. Car chaque fois ces hommes "bien intentionnés" en apparence oublient un peu facilement que la plupart du temps ce sont les malformations fœtales, handicapes et abandon du futur père (ou viol) qui pousse la future mère a avorté ou abandonné l'enfant à la naissance. Ensuite seulement viennent la paupérisation et soucis financiers qui en découlent obligatoirement, le rejet de leur communauté, famille ou emploi, les risques pour leurs études ou carrières, etc. Voilà pourquoi, on ne peut jamais faire de généralités, ni donner de conseils ou consignes standardisées d'emblée. 

Cependant, la présence de ces associations dites "pro-life" ou "pro-vie", même maladroites voir dérangeantes pour beaucoup de "démocrates gauchistes" dits "pro-choix", alors que plutôt "anti choix" en vérité, est aussi utile qu'indispensable dans nos sociétés comme contre balancier, afin déjà d'obtenir d'autres points de vue et arguments utiles à tout débat contradictoire mais surtout afin de permettre à toutes celles qui ont vraiment envie au fond d'elles de garder leurs bébés, mais qui pour xx raisons matérielles ou manque de soutiens physiques ou psychologiques ne pensaient pas pouvoir le faire, finissent par se sentir assez soutenues et motivées pour ne pas avorter finalement. Non pas à cause d'influences néfastes et discours sectaires de bigot.e.s culpabilisant.e.s mais bien par choix et désir réel de maternité de ces femmes déboussolées. 

Notre rôle en tant que membres bénévoles d'association (parent ou non, professionnel ou non) étant donc chaque fois de permettre aux mères, seules, de puiser en elles assez de force et courage pour "retrouver le nord" et leur propre boussole, quel que soit leurs choix comme nos croyances, et même si ceux-ci ne nous plaisent ou conviennent pas à nous personnellement.

*Preuve à l'écoute de cette Histoire de l'Avortement en France, ou plutôt "Interruption Volontaire de Grossesse (IVG)", que c'est bien d'abord une question de pouvoir "masculiniste" sur la fécondité des femmes et démographie humaine, sur la manipulation sexiste qui en découle ensuite à partir de dogmes et intérêts religieux, sociaux, culturels, médiatiques et surtout politiques et économiques qui changent selon les époques et nations. Rappelons que le malthusianisme anglo-saxon est bien une doctrine eugénique et le grand-père de l'idéologie fasciste puis nazi en Europe : https://www.persee.fr/doc/pop_0032-4663_1992_num_47_2_3837

De l'autre côté, il est vrai que le simple droit des femmes à disposer de leur corps comme elles l'entendent et non comme la société et l'époque l'entendent, qu'il s'agit de leur fécondité autant que sexualité, est toujours remis en question partout dans le monde : https://youtu.be/QNqA9TMf7HA

Cependant les groupes militants ou associatifs dit "pro-fem" ne se rendent eux/elles-mêmes pas toujours bien compte à quels points leurs "bonnes" intentions et actions sont détournés par des organismes, fondations, laboratoires et entreprises mercenaires sans scrupules pour faire du business autour de la fécondité/infertilité ou gestation/contraception des femmes, et pas qu'au niveau de la contraception en question et ventes de médicaments polluants, vaccins toxiques ou autres substances biochimiques. 

En réalité et comme d'habitude, c'est bien tout un ignoble business qui s'est mis en place autour du corps des femmes et de leurs enfants à naitre ou pas. Dans nos pages sur le placenta & ses cellules souches et du cordon ombilical, nous avions déjà dénoncé le fait qu'insidieusement, sans prévenir les mères et familles, trop de structures de santé publiques comme privées pour le compte des laboratoires pharmaceutiques ou centres de recherche médical voir même universitaire récupéraient ces "déchets organiques" pour les fractionner en organes ou cellules humaines vivantes indispensables à leurs divers expériences et travaux scientifiques. 

"Rien ne doit arrêter la Science ni le Progrès !" me direz-vous. Certes, mais l'Ethique derrière et surtout quid du consentement libre et éclairé des patientes là ? Car il en va de même désormais pour les fœtus avortés comme les dons d'organes ou de tissus humains ce qu'ils sont alors considérés avec désintérêt ou grands mépris,  à l'opposé de tout le discours "protectionniste" des militants "pro-life" quand le fœtus était encore in-utéro. D'ailleurs personne ne s'intéresse du tout à la question extrêmement gênante pour les pouvoirs publiques du "recyclage" de ces embryons ou fœtus abandonnés (à l'inverse des fausses couches non souhaités par les mères elles-mêmes) comme pour tous nos autres déchets organiques. Les professionnels de santé (sur place ou non) comme les autorités et administrations nous jurant, sans jamais avoir vérifiés non plus eux-mêmes personnellement, encore moins après recherches et preuves à l'appui, que TOUS nos déchets humains étaient bien ensuite incinérés sans jamais être récupérer par qui que ce soit de "bien" ou "mal" intentionné et cela à des fins mercantiles ou non (pour la recherche ou autre par exemple) parmi le personnel médical public comme privé en lien directement ou non et employés ou non par les firmes pharmaceutiques, comme c'est toujours le cas pour les conseillers ou conseillères médicaux qui tournent dans nos hôpitaux, cliniques et donc maternités et services de gynécologie-obstétrique. C'est à dire que même l'infirmière la plus attentive comme le ou la simple employée de ménage ne peut pas nous dire où sont envoyés exactement les déchets organiques humains ensuite ? Probablement même pas le directeur lui-même ! Et même si on part de l'hypothèse que le détournement, vente ou "trafic d'organes humains" ne se fait pas ici en France qui nous assure non plus que cela ne se fait pas ailleurs, en provenance des pays d'Afrique ou autres, avant d'être congeler puis transporter dans nos propres centres de recherche ici ? 

On en revient encore et toujours à la valider ou non du consentement libre et éclairé du patient aussi en ce qui concerne la "vente d'organe humain" et des possibles influences ou pressions financières : https://www.cairn.info/revue-raisons-politiques-2011-4-page-57.htm

En tout cas personne ne nie plus au moins maintenant que des fœtus avortés humains, bovins, singes ou d'autres espèces servent à l'expérimentation médicale pour la création de nouveau médicament, produits cosmétiques ou même vaccins, etc. Même le Vatican a dû enfin le reconnaître en 2020 tout en imposant la vaccination obligatoire à tout son personnel ecclésiastique ou simples croyants à l'Eglise, avec passe vaccinal à jour : https://www.la-croix.com/Religion/Le-Vatican-approuve-vaccins-contre-Covid-meme-derives-foetus-avortes-2020-12-22-1201131450
https://doc-catho.la-croix.com/On-peut-recourir-vaccin-anti-Covid-sans-culpabilite-morale-explique-pere-Dominique-Foyer-2021-06-21-1201162366

Mais même si cela semble "indispensable" aux scientifiques actuels ou que ce n'est pas "nouveau" pour eux, alors que beaucoup de le découvre que maintenant, cela ne rend pas pour autant l'utilisation de foetus humains avortés licite au regard de la moral et éthique ! C'est comme de mettre de la gélatine de porc dans des bonbons pour enfants musulmans sans leur en parler ou dans des gélules ou autres compléments alimentaires aux végans, de faire manger de la farine animal broyée à d'autres animaux, etc, le procédé en lui-même est abjecte, c'est tout !  https://www.nationalgeographic.fr/sciences/sante-cellules-foetales-et-vaccins-contre-le-covid-19-ce-quil-faut-savoir

Mais à part cela il n'y a absolument aucune contradiction, ni argument logique pour ces "hommes de science et de savoir", comme pour ces pauvres religieuses abusées ci-dessus, ni même de regret par rapport à la loi Kouchner de 2002 sur le consentement éclairé des patients à obtenir non pas par défaut mais bien en amont de tous actes médicales ou autre traitement : https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000000227015/

"Les modalités du don d’organes ou de tissus 

Il est possible de donner un organe ou des tissus de son vivant ou après sa mort.
92% des dons d’organes ou de tissus viennent d’une personne décédée.
Permettre le prélèvement de ses organes ou de ses tissus après son décès est un acte de générosité et de solidarité. Ce geste permet de sauver des vies.

Depuis la loi du 22 décembre 1976 (loi Caillavet), chacun est présumé donneur, sauf en cas de refus exprimé de son vivant.
Ce principe a été réaffirmé a plusieurs reprises par le législateur et encore une fois par la loi de modernisation du système de santé du 26 janvier 2016. La récente loi éclaircit le rôle des proches et précise comment refuser de donner ses organes. Elle prévoit notamment l’accès en ligne au registre national des refus géré par l’Agence de la biomédecine. (...)"

Le Registre national des refus

Au moment du décès d’une personne, avant d’envisager un prélèvement d’organes ou de tissus, l’équipe médicale vérifie en premier lieu que cette personne n’est pas inscrite sur le Registre national des refus géré par l’Agence de la biomédecine.

Quels sont les organes prélevés ?

Les principaux organes prélevés sont : Le rein, Le foie, Le cœur
Dans une moindre mesure sont aussi prélevés : Le poumon, Le pancréas, Les cornées,
Des parties de l’intestin,
Des tissus comme : Des os, Des artères, Des tendons."

https://solidarites-sante.gouv.fr/systeme-de-sante-et-medico-social/parcours-de-sante-vos-droits/respect-de-la-personne-et-vie-privee/article/les-modalites-du-don-d-organes-ou-de-tissus

Remarquer bien que dans cette liste à aucun moment il n'est écrit que le fœtus, placenta, cordon ou leurs cellules souches peuvent être prélevés et certainement pas non plus sans en parler à qui que ce soit, ni aux parents, ni aux familles, ni même aux personnels soignants qui restent toujours dans le déni complet, autant de ce qu'on leur cache régulièrement au sein de leur établissement, que ce qu'on leur impose malheureusement aussi de faire à l'opposé souvent de leur volonté, croyance comme principes moraux.

La Loi Kouchner de 2002 ou LOI n° 2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé : "prévoit que le patient doit avoir un consentement libre et éclairé des actes et traitements qui lui sont proposés. De fait le médecin a un devoir d’information qui peut mettre en jeu sa responsabilité si tel n’a pas été le cas. Le patient a le droit de savoir avant un acte médical : les différents traitements, les actes médicaux  proposés, leur nécessité ou leur urgence éventuelle, leurs conséquences directes et celles en cas de refus, leurs risques fréquents ou graves normalement prévisibles, les alternatives."

Pour conclure,

Après tous les témoignages inverses que nous avons pu entendre et collecter en 10 ans et plus, quand on nous parle ensuite de "respecter scrupuleusement le choix des femmes et mères enceintes ou souhaitant avortées en France", selon le discours en apparence tolérant et humaniste des militants "pro-féministes" en lien avec les PMI, centres médicaux, labos, cabinets, hôpitaux, cliniques ou autres, on rit jaune ! En réalité, force est plutôt de constater que comme le système médical actuel n'est absolument ni tolérant, ni respectueux déjà envers son propre personnel, il l'est encore moins vis à vis des malades et encore moins des femmes enceintes non malades mais juste venues donner naissance et non "accoucher couchées et soumises" dans des lieux de soin qui à la base en tant que services publiques restent bien payants en réalité, car payés par notre Sécurité Sociale, mutuelles comme nos multiples impôts, taxes, TVA, subventions, etc. 

Donc le minimum, c'est d'écouter et respecter enfin l'avis et opinion de leurs clientes contribuables comme des associations représentantes d'usagers, y compris des "pro-life" ou "pro-choix" & co également qui apportent chacun à leur manière de la diversité aux débats comme de solides arguments en faveur de l'amélioration de la santé des femmes et hommes, enfants et adolescents, personnes âgées, handicapés, etc.   

C'est pourquoi il est grand temps qu'à nouveau le dialogue se rouvre entre nous sinon on court à la catastrophe ! On ne peut pas nous reprocher ensuite de n'être rien d'autre que des groupes de "fous extrémistes" ou "folles hystériques & sectaires", genre "bobo écolo", quand en face nous n'avons plus affaire désormais qu'à des adeptes "acharnés et intégristes" du tout médical et vaccinal, complètement endoctrinés par leur saint Dieu Médecin, en blouse blanche, rose ou verte, avec des gourous experts es-sciences des plateaux TV ! 

Alors arrêtons donc de toute part les anathèmes, jugements hâtifs et insultes mal placées et ouvrons enfin non le débat et promesses stériles mais bien l'échange constructif et solidaire autour d'une table ronde pour le bénéfice de tous et toutes. 

Liste des liens et vidéos :

"IVG dans la Constitution : L'histoire du droit à l'avortement en France", de 20 Minutes France, publié le 25 novembre 2022 sur YT : https://youtu.be/3nuyr3B1cSU
Manifeste des 343 salopes, publié le 5 avril 1971 dans le Nouvel Observateur : http://www.adequations.org/IMG/article_PDF/article_1596.pdf

Avortement : "Religieuses abusées, l'autre scandale de l'Eglise" (censuré par YT ex : https://youtu.be/WdjBJeVwFPA donc sur https://odysee.com/@Feerika:d/Religieuses-Abus%C3%A9es-Lautre-Scandale-De-L%C3%A9glise-2017-1:a
Vaccins, Vatican & foetus avortés : https://www.la-croix.com/Religion/Le-Vatican-approuve-vaccins-contre-Covid-meme-derives-foetus-avortes-2020-12-22-1201131450
Théovox Actualités du 17/06/2021 (1ère partie) : https://theovox.tv/video/richard-decarie-2021-07-08/
Où en est l'accès à l'avortement dans le monde ? : https://youtu.be/QNqA9TMf7HA

https://www.cairn.info/revue-raisons-politiques-2011-4-page-57.htm
https://solidarites-sante.gouv.fr/systeme-de-sante-et-medico-social/parcours-de-sante-vos-droits/respect-de-la-personne-et-vie-privee/article/les-modalites-du-don-d-organes-ou-de-tissus

Vaccin et cellules fœtales :
https://www.la-croix.com/Religion/Le-Vatican-approuve-vaccins-contre-Covid-meme-derives-foetus-avortes-2020-12-22-1201131450
https://doc-catho.la-croix.com/On-peut-recourir-vaccin-anti-Covid-sans-culpabilite-morale-explique-pere-Dominique-Foyer-2021-06-21-1201162366
https://www.nationalgeographic.fr/sciences/sante-cellules-foetales-et-vaccins-contre-le-covid-19-ce-quil-faut-savoir