Le projet de naissance
Les différences entre contrat, plan et projet de naissance
Accueillir bébé autrement pour vivre pleinement son accouchement
Avec le projet de naissance, les futurs parents peuvent mieux préparer ce grand événement, seuls ou avec les professionnels de leur choix, dans le lieu de leur choix (s'ils en ont plusieurs pas trop loin ?), mais si possible le jour du... choix de bébé et non du médecin gynécologue, de la sage-femme ou des parents trop pressés... ! Car pour devenir réellement acteur plutôt que spectateur de cette naissance, il s'agit déjà dès les premiers jours de la "grossesse" (gestation), de bien choisir sa préparation, de s'entourer des bonnes personnes et d'obtenir surtout les informations au bon moment afin de réaliser ensuite son projet de naissance personnalisé et surtout le faire appliquer le plus possible jusqu'au bout ou s'en rapprocher du moins le plus possible.
Ensuite seulement après la rédation en couple de votre projet de naissance vous pourrez y rajouter votre fameux album de naissance avec photos, récits, échographies (ou non) retraçant l'histoire de ce merveilleux évènement. Mais le premier projet (celui sur la naissance) ne doit surtout pas être oublier au bénéfice du second (l'album de naissance). Et même si le père peut évidemment donner son avis sur la façon dont lui perçoit se grand évènement et l'arrivée au monde de son(ses) enfant(s), il faudra toujours garder à l'esprit que ce n'est pas lui qui accouche, ni risque sa vie ici ou du moins sa santé et atteinte à son sexe, dignité et intégrité. Au final, en cas de désaccord, c'est quand même l'avis comme les besoins et désirs de la mère qui prime voir même avant ceux de l'enfant, puisque, malheureusement si le bébé meurt la mère pourra normalement à nouveau en refaire un autre alors qu'en sens inverse cela ne marche pas. C'est direct ici mais cela a le mérite de bien recadrer les choses par rapport aux pratiqus ancestrales qui plaçait la mère et l'enfant sous l'autorité et choix du père et même priorisait la survit du bébé sur celle de sa mère. Une abhération qui reste encore présente malgré tout dans de nombreux esprits !
Le projet de naissance à prévoir longtemps d'avance pour le jour J
On ne le répètera jamais assez lors de nos réunions et formations : c'est à la mère seule de choisir le lieu de l'enfantement comme le projet de naissance de son(ses) petits, de même que, normalement, les personnes cnnus et conviés ou non à l'évènement, comme on le ferait pour son mariage et autres heureux évènements ! Pourtant malheureusement on constate que c'est rare le cas et que peu de personne feront cas de ses désirs et attentes pour le jour J... même ses proches ! Pourquoi ? Parce que durant des siècles il en était ainsi : l'esprit comme le corps des femmes ne comptaient pas surtout lorsqu'il s'agisaitt d'un moment aussi crucial pour les familles que la survie ou non de leur lignée (artistocrate) ou descendance (plèbe). Pourtant il ne s'agit nullement ici de la vie, santé et du corps des autres, ni même du sexe du père n'ayant donné que son sperme dans l'histoire mais bien du sexe et corps de la mère en priorité ! Même s'il s'agit de leur "fruit-bébé" à tous les deux c'est bien elle et unqiuement ELLE qui sup-porte ce fruit dans SON ventre à ELLE. Il s'agit donc bien, dès l'annonce de sa "grossesse-gestation", de rappeler à tout le monde autour : à QUI appartient votre corps, votre sexe, votre utérus et même votre fœtus d'abord ! A vous et uniquement à vous ! Car c'est bien VOUS qui allez risquer votre vie afin d'en créer une autre... et personne d'autres ! Malheureusement nous vivons toujours actuellement dans des sociétés patriarcales et époque industrielles où tout le monde à tendance à l'oublier...
D'autant que, pour une première naissance, il est très difficile, en aval comme en amont, pour la mère et le père de bien clarifier et exprimer SES choix, divergences et visions personnelles sur cet évènement important qui fait appelle à notre propre histoire familiale, peurs et conception de la naissance et maternité. Surtout que, nécessairement, la vision du couple sera elle-même très différente de celle d'autrui. Donc par principe, plus on demande d'avis aux autres et plus on a de récits divergents donc plus on finit totalement perdu voir complètement paniquée !
C'est pourquoi, il vaut mieux se RE-CENTRER autour de son propre nombril (histoire et bébé), puisqu'il s'agit avant tout (on insiste !) de SON corps et SA vie donc des conséquences physiques qui peuvent en découler par la suite pour la mère comme pour l'enfant. Tout en gardant toujours à l'esprit que la femme peut aussi avoir envie de changer d'avis à tout moment. C'est un droit fondamental et inaliénable : celui de votre liberté de mouvement comme un principe légal du libre consentement ! Vous savez ce truc "ringard" qu'on appelle "le consentement libre et éclairé", totalement négligé sciemment par la plupart des professionnels de santé de même que nos dirigeants, "experts es-scientifiques", etc. Même si on le sait que le Jour J tout peut arriver différemment de ses premiers désirs et volontés, il est essentiel de pouvoir les définir clairement au départ et écrire explicitement en amont, les documenter, exprimer et même répéter régulièrement autour de soi pour qu'autrui puissent les entendre et en tenir compte par la suite. Ce sera alors déjà un grand pas de franchi par les femmes et mères aujourd'hui vers plus de maîtrise, d'affirmation et confiance en soi donc aussi plus d'autonomie, de respect et de liberté d'action.
La phase indispensable de ré-information et dé-programmation
Cependant pour le rediger de façon réellement éclairé, il faudra d'abord obtenir un maximum d'informations de sources très diverses : association d'usagers, professionnels de santé, doulas ou autres, dans et hors institutions, centres médicaux sociales, médecins, sages-femmes et puéricultrices, cercles amicales, familiales et professionnels, ainsi qu'au travers de conférences, réseaux sociaux, livres et magazines indépendants, etc. Ainsi, chacun(e) pourra alors réunir à sa manière les diverses pièces de son puzzle pour composer le tableau de le naissance de son choix et définir ainsi son projet de naissance par écrit. Pour cela, la future maman devra d'abord bien le clarifier auprès de son conjoint et de son entourage. En effet, en formulant ses souhaits à la fois oralement et graphiquement, la future mère instaure en amont un échange constructif avec son partenaire en priorité, puis sa sage-femme ( libérale en cas d'accompagnement global ou hospitalière si uniquement par la maternité) et sa doula si possible aussi, auprès de la PMI de son secteur et des praticiens des services d'obstétrique et de néonatologie, anesthésistes, médecin généraliste, kinés, etc.
La futures maman posera alors les bases d'une meilleure communication entre toutes ces personnes aux avis nécessairement divergents, en se fondant au maximum sur son intuition comme sur le respect mutuel et le dialogue. Pour un seul et unique objectif : accueillir au mieux son enfant dans les conditions les plus optimales possibles pour elle selon l'histoire du couple et leurs parcours personnels durant cette grossesse, et cela avec davantage de sérénité et confiance. Cependant, si le couple sent que ses souhaits ne risquent pas du tout d'être respecter le jour J avec telle ou telle personne, alors il sera encore temps même le jour d'avant de "changer de crèmerie" ou alors de prendre un second avis ou plus, afin d'obtenir de meilleures informations et/ou un.e autre accompagnant.e, ou toruver ensemble peut-être des compromis en cas de pathologies avérés et graves, tout en poursuivant leurs objectifs prioritaires : respecter en priorité les choix de la mère comme son corps et de celui de son(ses) enfant.s.
Comment écrire son projet de naissance ?
Soit la femme enceinte arrive elle-même à écrire son propre projet de naissance, si possible avant la fin du second trimestre de grossesse (voir exemple de projets que vous pouvez nous demander par émail et nous renvoyer aussi le votre ensuite si vous le souhaitez), soit elle peut demander à son (ou sa) conjoint(e), amie ou encore à un écrivain public de le faire pour elle. Qu'elle y mette alors TOUS ses "souhaits" et non ses "exigences" en restant modérée et ouverte à la négociation quand même. Y rajoutez, enfin un soupçon d'imagination et surtout une bonne pincée d'humour, ça passe toujours mieux ainsi ! C'est pourquoi, on parle toujours de "plan ou projet" de naissance et non de "contrat" de naissance : mot qui angoissent et braquent généralement les professionnels de santé.
Attention, cependant "négocier" ne veut pas dire non plus "tout accepter" ! Un.e bon.ne diplomate arrive généralement à obtenir ce qu'elle/il veut lors de négociations souples surtout certains points mais fermes sur d'autres, c'est-à-dire sur les éléments non négociables car essentiels à vos yeux. C'est tout autant une question de persévérance et de ténacité que d'ouverture d'esprit et d'empathie vis à vis du partenaire choisi longtemps à l'avance et donc accepté pendant ou après la naissance. Il faut déjà garder à l'esprit qu'un hôpital n'est pas une prison, que personne n'a d'autorité légale sur vous ou votre enfant et qu'à tout moment vous pouvez soit partir, soit rester mais alors demander la présence d'une autre personne plus en accord avec vos avis et votre personnalité ! Voilà pourquoi, il est essentiel de tout clarifier par écrit car le jour J, en arrivant à la maternité de votre choix ou même en restant à votre domicile, vous n'aurez plus alors la possibilité ni surtout la force physique ou clareté d'esprit d'argumenter, tenir tête ou de vous justifier. Normalement, c'est alors que le rôle du père devient essentiel afin d'être le relais de votre parole, vos besoins et souhaits érits. Même s'il faut évidemment dans un hôpital ou clinique se préparer à répéter plusieurs fois de suite la même chose à plusieurs personnes différentes tout au long de la journée ou nuitée. Cependant, ni la mère, ni le père, ni même le couple, n'ont à négocier ni se justifier sur TOUT et pour TOUT ! Ce sont plutôt aux professionnels de vous accueillir au mieux qu'ils leur est possible à ce moment là, en sachant qu'ils:elles n'auront probablement pas eu le temps de lire tranquillement votre projet de naissance en entier. Donc, déjà prévoir une version courte pour le Jour J (voir une version longue au chef de service quelques semaines avant), d'une seule page maximum, bien écrite, lisible et concise.
Comment faire respecter son projet de naissance ensuite ?
Ainsi, pour éviter les quiproquos ou tentatives de division du couple par certaines personnes pas toujours bien intentionnées, il peut être très utile que le futur papa ou l'accompagnante connaisse votre projet "par cœur", du moins dans les grandes lignes. Cela afin de pouvoir relayer à temps vos paroles et réaffirmer vos choix et droits ! Car la mère ne sera pas toujours, elle, en état de demander quoi que ce soit, ni de fournir toutes les explications nécessaires face à tel ou tel professionnel non coopératif pratiquant des actes médicaux sans son consentement sur elle ou son enfant. Actes invasifs dont évidemment le couple ne comprendra pas forcément ni les conséquences par la suite, ni même la raison initiale, ni la nécessité, ni même l'urgence d'ailleurs à ce moment là ! Pourtant n'importe quel acte médical, ou non médical, devrait leur être au moins annoncer d'avance, même brièvement, l'expliquer avant, pendant ou après la naissance et surtout de façon très respectueuse. La majorité des procès qui s'ensuivent proviennent souvent du simple fait qu'aucun professionnel présent alors n'avait pris ne serait-ce que quelques secondes pour parler aux parents, les rassurer et s'assurer surtout qu'ils étaient bien d'accord avec eux et les actes qu'ils s'apprétaient à poser. "L'enfer étant pavé de bonnes intentions", il n'est pas impossible non plus de se tromper n'est-ce pas ! Oui mais alors c'est tout de même sur le corps de la femme que cette bataille se joue et les conséquences physiques comme psychologiques sur elle et/ou son enfant (mais aussi le père) peuvent être dramatiques !
C'est la raison pour laquelle, il vaut mieux s'être bien renseigner auparavant sur la réalité, l'enchainement des causes et conséquences de certains actes médicaux iatrogènes (cathéter d'ocytocine = péridurale précoce, épisiotomie avec ou sans anesthésie, expulsion manuelle du placenta = révision utérine, absence de peau-à-peau et mauvaise mise en route de l'allaitement = hémorragie de la délivrance, aussi aaprès la pose de forceps ou césariennes, etc.). Non pour faire ou "avoir peur de..." mais pour "se préparer à...". D'autant qu'en cas d'urgence, le couple sera bien moins angoissé s'il sait d'avance ce qui les attend "au cas où...". Mais surtout les futures parents sauront ainsi mieux prévenir certains "pièges ou risques médicaux" s'ils les connaissent mieux.
Enfin surtout, mesdames, pensez à BOUGER et RESTEZ ACTIVE lors de votre non pas "accouchement" (c'est-a-dire d'ac-coucher coucher de façon passive) mais bien d'"enfant-tement" (c'est-à-dire de mettre au monde un enfant de façon active). Ayez confiance en votre corps, vos sensations et mouvements ou non de votre bébé en vous (qui progresse ou se repose avant la sortie). Ayez confiance surtout en votre capacité à l'écouter et le laisser faire aussi pour lui donner vie ! Surtout ressentez le d'abord avant de chercher systématiquement à tout diriger et intellectualiser ! Enfin en priorité, sachez vous déconnecter du monde extérieur afin d'entrer dans votre propre "bulle intérieure avec bébé". Ne paniquez pas rapidement au moins arrêt ou blocage apparent ! Ne vous stressez pas vous-même, paniquez et braquez surtout pas à cause de paroles, lumières trop fortes ou stress ambiant ! Rien n'est plus contagieux que la peur et le stress d'autrui, donc éloigner le de vous le plus vite possible ! La vie étant avant tout dans le mouvement, bougez le plus souvent possible avant l'expulsion, sentez votre enfant en vous, car c'est d'abord SA naissance avant d'être la votre (ou la réminicense de la votre et d'anciens traumatismes à évacuer avant son arrivée) ! Donc, faites lui et faites vous confiance afin de le guider paisiblement mais sûrement vers la sortie et la lumière ou l'obscurité (lumière plutôt tamisée).
En connaissant et créant ainsi les conditions favorables à la construction de votre "nid" vous pourrez ainsi en paix (du moins intérieurement) mieux y recevoir votre petit et transcender peut-être ces instants douloureux en moments magiques !
Rédiger ou faites rédiger ensuite son récit de grossesse ou "album de naissance" ?
Complémentaires l'une et l'autre, ces deux prestations peuvent être également réalisées par un(e) professionnel(le) de la plume (écrivain public et biographe). Ceci permettant aux jeunes mamans et papas, à la fois de se décharger d'un "travail supplémentaire" en pleins actions et soins auprès de(s) bébé(s), et à la fois de faire appel à quelqu'un qui saura trouver peut-être encore mieux qu'eux la juste maîtrise des mots pour coucher sur le papier, avec tendresse et en toute intimité, les souvenirs de la grossesse et de la naissance de bébé(s). Généralement initiés par les parents eux-mêmes (ou les grand-parents) dans une démarche personnelle, ces récits compilés sous forme d'album constitueront également une très belle et originale idée de cadeau de naissance à offrir à la famille en signe de bienvenue !
Un récit de grossesse : un carnet de route pas comme les autres...
Entre témoignages, journal, confidences et album thérapie, il est entièrement dédié au bébé à naître. Avec l'album de grossesse, la maman conserve une trace indélébile et authentique du tendre huis clos qui se tient dans son ventre pendant neuf mois. La maman, ou les deux parents si le couple s'engage mutuellement dans le projet de narration, choisissent la forme que ce journal très spécial doit revêtir, le message qu'il doit transmettre à l'enfant. Avec le concours rédactionnel de l'écrivain biographe, ils élaborent un recueil à leur image, selon leurs idées et leurs envies : sobre ou coloré, dépouillé ou illustré de dessins, de photographies, de poèmes, de clichés d'échographies. Empreint de leurs rires, de leurs larmes, de leurs espoirs, de leurs appréhensions, l'album de grossesse accompagne la maman jusqu'à son accouchement, et au-delà si elle le souhaite, avec respect, tact et pudeur.*
Ainsi, cet album de naissance de famille (mère-bébé mais aussi papa-fratrie) pourra s'enrichir au fil des mois en s'étoffant des souvenirs attendris (ou non) du ventre arrondi de madame et bisous de monsieur puis des tétées & câlins, de ses premiers sourires et balbutiements, des premiers repas aux premiers pas et ses premières grandes découvertes aussi, etc. Alors, plus tard, toute la famille - l'enfant ou adolescent le premier sans doute - aura plaisir à le feuilleter comme un livre généalogique ou album retraçant cette belle histoire (photos, écrits et autres...).
L'album de famille : une démarche en apparence "nostalgique"
Semer la vie est toujours un défi fabuleux, une aventure avec un grand « A ». Du désir d'enfant à la conception, de l'acte d'amour originel au premier cri, la naissance d'un enfant remet en question radicalement la perception des êtres et des choses, l'ordre réglé d'une existence, le rapport au monde.
C'est la raison pour laquelle les motivations à se lancer dans de tels récits sont multiples :
Parce que l'histoire de chaque enfant est unique,
Parce que le sourire du petit d'homme qui vient au monde ne ressemble à aucun autre,
Parce qu'on a envie de partager avec la terre entière l'intensité d'heures rares et précieuses, de perpétuer la douceur de moments intimes,
Parce qu'on a envie de rendre hommage à la candeur fragile d'une nouvelle vie qui éclot, délicate mais déjà si pleine de promesses,
Parce qu'on veut lui dire tout l'amour qu'on lui porte déjà,
Mais aussi.... parce qu'il faut parfois beaucoup de patience, d'obstination et d'espérance avant que bébé ne voit le jour.
Concrètement, comment ça se passe ?
Lors d'une entrevue privée, à son bureau ou au domicile des parents, le photographe ou l'écrivain biographe examine en toute confidentialité avec la maman et son conjoint les différents aspects de leur projet : rédactionnels, graphiques, budgets, etc. Par exemple, les parents peuvent confier des photos ou des clichés d'échographies à intégrer dans le montage pour égayer le texte, des notes manuscrites à scanner, etc. Une fois ces éléments déterminés, il ou elle remet une proposition assortie d'un échéancier prévisionnel pour l'avancement de l'album. Les deux parties conviennent notamment d'un calendrier pour se revoir et faire plus ample connaissance avec le petit « locataire in utero » ou avec l'enfant si celui-ci est déjà né. Le tout, naturellement, au rythme de maman et du papa. La réalisation technique de la maquette (illustration, impression, reliure) sera ensuite sous-traitée à des prestataires spécialisés, pour un produit fini à la qualité soignée, édité en un ou plusieurs spécimens.
*Addenda : On en profite ici pour rappeler que l'ocytocine comme la prolactine étant des hormones "timide", il vaut mieux éviter de filmer, photographier parfois même juste regarder la mère entrain d'enfanter comme donner le sein à son petit, surtout au début. Ensuite quand l'enfant grandit c'est moins dérangeant et risque moins de contrarier à la fois le "réflexe d'éjection du fœtus" et le "réflexe d'éjection du lait" :)
Quand à la rédaction de votre projet de naissance, évidemment le vôtre doit être personnalisé, cohérent, bien rédigé et si possible avec un brin d'humour, ça passe toujours mieux au départ ! Même si sur les points importants pour vous il ne sera pas question de transiger. C'est pourquoi la présence du père ou à défaut d'un.e ami.e, sa force et son soutien vous seront essentiel autant avant, pendant qu'après la naissance de votre ou vos enfants.
Faites le relire, parlez-en et corriger le, si besoin. Certes c'est votre projet de couple mais c'est d'abord votre projet de vie !