L'affaire #Lola11 ans

Date de publication : Octobre 25, 2022 17:06:30 PM

Octobre 2022 : l'Affaire des réseaux pédo-satanistes #Lola12ans

Le vendredi 22 octobre 2022, une jeune collégienne parisienne du, Lola 12 ans, ouvre la porte sécurisé de son immeuble du 19ème arrondissement aux alentours de 15h30. Mais elle ne rentrera pas chez elle ce jour-là... Ne la voyant pas revenir ses parents s'inquiètent, notamment son père qui est gardien de l'immeuble et qui rapidement pense à visionner les caméras de sécurité qui lui révèlent une bien inquiétante réalité : Lola n'était pas seule quand elle a ouvert la porte d'entrée mais accompagnée qu'une autre jeune fille un peu plus âgée qu'on appellera ici "l'appât" (environ 20 ans) qui fait suite à une autre femme (la principale "suspecte" ou "meurtrière" 24 ans) Dahbia B. SDF originaire d'Alger et dont la sœur habite dans un appartement dans lequel elle vient régulièrement et avec sa complice attire la fillette dedans. 

A partir de là, commence l'histoire sordide avec moultes remaniements des médias, autorités politiques et judiciaires qui vont s'enchaîner autour de cet assassinat barbare qui "défraie la chronique" comme on dit mais surtout scandalise et révolte la majorité des gens lorsqu'ils apprennent qu'en plus cette jeune algérienne, dont les journalistes s'évertuent au départ à dissimuler sciemment l'identité et la nationalité vu qu'elle est arrivée en France en 2016 grâce à une carte d'étudiante étranger, avait un titre un séjour périmé depuis 2019 et était sous OQCF (Obligation de Quitter la France) depuis plusieurs mois. 

Cela fait donc beaucoup de fautes et dissimulations et malheureusement on va voir ici que... ce n'est pas fini !

Voilà par exemple le type d'articles qui circulaient dans le "Journal des Femmes" le 25 octobre 2022 sur l'allaire #Lola12ans

"Dahbia B., principale suspecte : révélation sur cette femme de 24 ans

Elle est désormais la principale suspecte dans cette affaire écœurante. Lundi 17 octobre, BFMTV a révélé que cette femme âgée de seulement 24 ans, de nationalité algérienne, avait obtenu un titre de séjour étudiant, aujourd'hui périmé. Elle était arrivée en France en 2016.  En aout 2022, alors qu'elle essayait de prendre l'avion, elle avait été interpellée par la police de l'air et des frontières car elle ne disposait pas de titre de séjour valide. Elle était depuis soumise à une obligation de quitter le territoire sous 30 jours.

Plus étonnant encore, depuis 2018 elle était connue des services de police et de justice comme victime de violences conjugales. Sa situation irrégulière dans notre pays a ravivé le débat dans la classe politique, le Rassemblement National sautant sur cette affaire pour remettre en avant un de ses thèmes favoris ; la lutte contre l'immigration. Débat clivant à un moment où la France est surtout émue de la mort de la petite Lola et que ses proches vivent une épreuve particulièrement difficile. 

Qu'à dit Dahbia B en garde à vue ? Un récit particulièrement glaçant et inhumain

Comme le rapporte Europe 1, lors de sa garde vue la principale suspecte a multiplié les déclarations glaçantes avant de plus ou moins se rétracter. Elle a affirmé avoir forcé Lola à prendre l'ascenseur jusqu'à l'appartement de sa sœur, chez qui elle loge parfois. Elle a ensuite demandé à l'enfant de prendre une douche puis l'a abusée sexuellement. "Je l'ai attrapée par les cheveux, j'ai mis sa tête entre mes jambes, j'ai eu un orgasme", a-t-elle confié. Elle dit lui avoir scotché le visage, ce qui va dans le sens de la cause supposée du décès ; l'asphyxie.

Pas avare en détails glauques, Dahbia B a expliqué avoir ensuite bu un café puis écouté de la musique "avant de larder de coups de ciseaux ou de couteau le corps de la jeune fille, au point où la tête sera quasiment désolidarisée du tronc. Elle ajoute avoir a bu du sang de la victime après l'avoir mis dans une bouteille." 

Des déclarations choquantes mais la suspecte s'est toutefois rétractée au fil des auditions. "Elle a raconté un rêve et non la réalité. Ses propos sont alors décousus. La voilà qui affirme s'être défendue face à un mystérieux agresseur au couteau puis s'être battue contre un fantôme", écrivent nos confrères.

Dahbia B face à la photo de Lola : une réaction qui fait froid dans le dos

Lors de son audition, la suspecte a été interrogée sur le motif du crime. Et, comme l'avait déjà rapporté Le Parisien, tout semble indiquer qu'il s'agit ni plus ni moins d'un crime gratuit. "Selon les propos de Dhabia B., une banale altercation serait à l'origine du différend qui l'oppose à la mère de la victime. Cette dernière est gardienne dans la résidence. Elle aurait refusé de lui donner un "pass Vigik" d'accès à l'immeuble de sa sœur, où elle logeait", ajoute Europe 1.

Lors de l'audition, les policiers ont montré des photos du corp de Lola à la suspecte, laquelle n'en avait rien à faire ! "Ça ne me fait ni chaud ni froid. Moi aussi je me suis fait violer et j'ai vu mes parents mourir devant moi", a-t-elle déclaré. Sa santé mentale pose évidemment question mais "l'examen de comportement psychologique n'a pas mis en évidence de péril psychique et son état a été jugé compatible avec la mesure de garde à vue."

La suspecte sous haute surveillance

Après avoir été entendue par la police, la suspecte a été conduite dans le quartier des femmes de la maison d'arrêt de Fresnes. "Dès l'aube, elle a été placée à l'isolement et fait déjà l'objet d'une surveillance constante", rapporte Le Parisien. "Elle va être examinée par un psychiatre qui va rendre une expertise. En fonction de cela, une décision sera prise", a précisé une source quant à la possibilité qu'elle soit transférée ailleurs, pour recevoir notamment des soins précis si son état de santé mental est mis en cause. Tout est fait pour éviter qu'elle fasse une tentative de suicide ou que des co-détenues, choquées par l'affaire, ne s'en prennent physiquement à elle. Idem pour le personnel de la prison qui a été "trié sur le volet"... (...)

Ce qu'ont révélé les images de vidéo-surveillance

Vendredi 14 octobre, Lola, une collégienne de 12 ans, n'était pas rentrée chez elle après avoir quitté le collège Georges Brassens où elle était scolarisée, juste à côté de son domicile, une résidence de la rue Manin dans le XIXe arrondissement de Paris. Les parents s'inquiètent rapidement de ne pas voir rentrer leur fille. La maman signale la disparition inquiétante de sa fille au commissariat du XIXe, tandis que le père, gardien dans l'immeuble où ils habitent, décide de visionner les images prises par les caméras de vidéosurveillance de la résidence.

Sur les images, il découvre que Lola est bien rentrée dans la résidence le vendredi après-midi. Il y aperçoit Lola dans le hall qui semble peu rassurée par la présence d'une autre femme qui l'interpelle. "La dame lui fait un geste comme si elle lui disait de venir. Lola n'avait pas l'air rassurée du tout", témoigne une voisine qui a vu les images au Parisien. L'immeuble est alors passé au peigne fin et la famille de Lola lance un appel à témoins sur les réseaux sociaux pour retrouver Lola et cette inconnue. Plusieurs riverains reconnaissent la femme et l'auraient vue tirer une malle très lourde dans le quartier.

Plusieurs arrestations, la suspecte incarcérée 

Les enquêteurs de la brigade criminelle se sont rapidement intéressés à la jeune femme, filmée en compagnie de la fillette par les caméras de vidéosurveillance alors qu'elles pénétraient dans l'immeuble quelques heures avant la macabre découverte. Une suspecte remarquée a plusieurs reprises au cours de la journée par des riverains alertés par son comportement agité. "Elle avait l'air un peu dérangée", confiait même un voisin à LCI. Elle aurait par ailleurs, selon les témoignages, multiplié les allers-retours entre l'immeuble et la rue.

La suspecte aurait proposé de l'argent à des passants contre de l'aide pour transporter sa malle, précisant que cet argent provenait d'un trafic d'organes... Rapidement identifiée par les enquêteurs avant d'être interpellée samedi matin dans un appartement de Bois-Colombes il s'agit de Dahbia B., 24 ans et née en Algérie. Elle a depuis été mise en examen et elle a été incarcérée à Fresnes.

Quatre personnes au total ont été placées en garde à vue dimanche soir après la mort de la collégienne ajoute Le Parisien."

Mort de Lola, 12 ans : "Ton départ aujourd'hui nous dévaste et nous anéantit", vive émotion de ses proches aux obsèques (journaldesfemmes.fr)
Article du Journal des Femmes mis à jour le 25/10/22 11:08
https://www.journaldesfemmes.fr/societe/actu/2856281-mort-de-lola-obseques-photos-famille-proches/

Si on y apprend des éléments intéressants ici on y décèle également un désir clair de coller aux versions officielles des propagandistes "macronistes" de l'AFP (Agence France Presse) et des autorités politiques et judiciaires dirigées alors par les sulfureux : Gérard Darmanin, Ministre de l'Intérieur (qui avait été mis en examens pour viols et harcèlements sexuels finalement sans investigation depuis septembre 2019) et Me Éric Dupont-Moretti, Garde des Sceaux (ancien avocat du Barreau de Paris chargé du scandale de l'Affaire Outreau et familles de pédo-criminels notoires) qui encore une fois semblent depuis le départ vouloir tout faire pour d'abord minimiser ce féminicide et infanticide abominable, détourner l'attention des faits en hurlant à la "récupération politique par l'extrême droite" et tenter ainsi de dédouaner leurs propres responsabilités puisque depuis de nombreuses années, mais encore plus particulièrement depuis 2019, les OQTF ne sont pas suivis, ni respecter sur notre territoire ; entre autre à causes des mesures libertaires immigratoires européistes, mais pas que... 

"Seulement 6,9 % des obligations de quitter le territoire français (OQTF) ont été exécutées en 2020 et 5,6 % au premier semestre 2021, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, cités dans un rapport du Sénat. Un taux d’exécution qui baisse d’année en année et pour lequel le gouvernement a admis, mercredi 19 octobre 2022, qu’il pouvait « évidemment faire mieux » . 


L’exécution des OQTF est-elle contrôlée ?

Normalement, l’OQTF doit être exécutée, mais il n’y a toutefois pas d’exécution réelle. Une OQTF est presque impossible à appliquer car personne ne vérifie que le clandestin qui doit quitter le territoire est bien parti. La police fait des contrôles et lorsqu’ils découvrent une personne en situation irrégulière qui a reçu une OQTF, alors elle est emmenée en centre de rétention.


Comment se passe le dialogue entre la France et le pays d’origine ? 

Tout est une question d’humains : ce sont les relations humaines qui déterminent notre niveau de collaboration. La France, pays de départ, est garante de la frontière du pays d’arrivée, c’est-à-dire que l’on doit s’assurer que les personnes qui quittent le territoire ont tous les papiers nécessaires pour rejoindre leur destination. Il faut donc dialoguer avec les ambassades pour obtenir des laisser-passer. Mais un pays qui ne veut pas récupérer son citoyen va traîner pour donner sa validation, voire ne pas la donner du tout. Dans les cinq premiers jours après la demande, on sait généralement si l’ambassade va donner suite ou non. C’est un casse-tête administratif et cela témoigne d’un vrai problème technique.


Si le laisser-passer est accordé, le retour du clandestin dans son pays d’origine est-il encadré ?

Si l’OQTF est validée et que l’ambassade du pays d’origine fournit un laisser-passer, alors la personne en situation irrégulière peut être reconduite. Il faut bien sûr libérer des policiers pour l’accompagner, car la personne ne peut pas y aller seule. Le coût de tout cela est énorme. Il faut compter environ 30 000 € par OQTF exécutée. Mais elle peut échouer jusqu’au dernier moment. Si la personne crie dans l’avion, par exemple, parce qu’elle ne veut pas rentrer chez elle, le pilote peut ordonner de quitter l’appareil et, dans ce cas, elle reste en France. Ou si elle refuse de se soumettre à un test PCR c’est pareil.


Que se passe-t-il lorsqu’un clandestin conteste son OQTF ?

La personne visée par une OQTF peut déposer un recours qui sera examiné par le tribunal administratif. Cela nécessite qu’elle parle français, qu’elle ait un avocat et bien sûr il faut que le recours soit effectué dans les délais, c’est-à-dire avant la fin des 30 jours. Lors du jugement, soit l’OQTF est confirmée, soit elle est cassée. Parfois, les juges estiment qu’il est impossible pour la personne de retourner dans son pays d’origine. Il lui est ensuite conseillé d’améliorer sa situation avant de refaire une demande de carte de séjour, de ne pas redéposer le même dossier.


Les autres pays européens ont-ils des chiffres aussi bas concernant les expulsions ?

La manière de calculer n’est pas la même dans tous les pays européens, ce qui explique par exemple que le nombre d’exécutions des obligations de quitter le territoire est beaucoup plus élevé en Allemagne. Eux n’adressent des OQT que lorsqu’ils ont obtenu le laisser-passer du pays d’origine. En France, on ne vérifie pas si on va effectivement pouvoir renvoyer la personne. Or on ne peut pas prendre les gens et les jeter en parachute ! Les administrations françaises ont un mode de calcul qui est honnête, mais la politique de l’OQTF est défaillante et inefficace."

ENTRETIEN. Pourquoi les OQTF, les obligations de quitter le territoire, fonctionnent-elles si mal ? (ouest-france.fr) Étude de dossiers de migrants, au tribunal de Nantes. (Photo d’illustration). | FRANCK DUBRAY / OUEST FRANCE propos recueillis par Chloé BENOIST publié le 20/10/2022 à 17h04 : : https://www.ouest-france.fr/societe/immigration/entretien-pourquoi-les-oqtf-les-obligations-de-quitter-le-territoire-fonctionnent-elles-si-mal-b0e00c06-5054-11ed-a90e-1284d011f692

Une "future pauvre" meurtrière présumée "à moitié folle" pourtant déjà bien aguerrie aux passages à tabac !

"Agression dans un secrétariat médical

Selon les informations de BFMTV, Dahbia B. avait agressé deux secrétaires d’un cabinet médical à Paris en 2019. Le ton était monté à la fin de la consultation et la jeune femme, qui refusait de payer pour ses soins, avait fini par frapper les deux secrétaires médicales, couvrant le corps de l’une d’entre elles de nombreuses ecchymoses, selon la victime. La scène avait été filmée par un tiers.

“Je vais revenir, vous ne savez pas de quoi je suis capable”, avait ensuite menacé la meurtrière présumée de Lola avant de quitter les lieux. Dahbia B., 21 ans à l'époque, était effectivement revenue avec un ami, lequel avait fini par payer une partie des soins.

Une main courante avait été déposée par les deux victimes à l’époque afin de garder une trace, effrayées par les menaces de Dahbia B."

“Vous ne savez pas de quoi je suis capable” : la meurtrière présumée de Lola avait déjà fait parler d’elle en 2019 | Monde | 7sur7.be : https://www.7sur7.be/monde/vous-ne-savez-pas-de-quoi-je-suis-capable-la-meurtriere-presumee-de-lola-avait-deja-fait-parler-delle-en-2019~aed9d801/?referrer=https%3A%2F%2Fwww.bing.com%2F

Kidnapping en réseau de pédo-satanistes sanguinaires, élitistes & multirécidivistes

Donc Dahlia B. serait plus connu des services de polices pour son OQTF et faits de "violences conjugales" en 2022 (de qui ? Sur elle ou son conjoint d'alors ?) plutôt que pour le passage à tabac de secrétaires médicales à Paris en 2019. On se moque de nous !  

Surtout que progressivement le voile se soulève et en même temps s'assombrit depuis la disparition de #Lola12ans annoncée très rapidement par la famille elle-même sur les réseaux sociaux dans l'espoir d'abord de la retrouver vivante puis de retrouver sa ou ses assassins présumés ainsi que leurs nombreux complices. 

Apriori au départ pour les enquêteurs, en plus de Dahbia la "cheftaine meurtrière", il ne s'agit que de 4 autres adultes : 3 hommes témoins "passifs" mais non "actifs" d'après eux et une sœur en apparence "absente" ce jour-là, ben voyons ! Mais quid de l'autre jeune fille de 20 ans qui accompagnait la "cheffe" ainsi que Lola et que les caméras de surveillance ont vu sortir en traînant juste avant 2 lourdes valises abandonnées ensuite en plus de cette fameuse malle macabre traînées laborieusement toute seule sur le trottoir par cette petite "cheftaine meurtrière" ultra violente et sanguinaire... Encore une fois, ça ne tient pas la route ! Il est bien plus probable, vue toute l'organisation matérielle que cela leur a demandé en amont, que Dahlia B. se soit au moins entouré d'un.e complice servile avec une voiture garée pas loin. A moins que celle-ci ait pris immédiatement la "poudre d'escampette" après avoir assisté au meurtre barbare de la fillette en plantant là sa "cheft-haine" avec ses valises et sa malle. Ce qui explique le scénario rocambolesque qui a suivi avec la tentative maladroite de cette "pauvre folle" d'algérienne de soudoyer de parfaits inconnus pour l'aider à transporter en pleine rue parisienne un corps ensanglanté.  Donc non cette femme n'était ni folle ni stupide mais visiblement bien mal entouré ! 

C'est pourquoi on peut affirmer ici sans trop se tromper qu'il existe bien au minimum une autre témoin ou "complice" cruciale dans cette sordide affaire qui pourtant s'est littéralement "vaporisée dans la nature". Une jeune fille elle-même apeurée, que tous semble avoir oubliés ou perdue la trace visiblement, ou que les enquêteurs recherchent toujours mais plus discrètement, ou bien ne souhaitent tout simplement plus revoir vu l'ampleur et tournure politique que l'affaire #Lola12ans a pris depuis. Mystère !

Un second suspect âgé de 43 ans mis en examen.

Un homme de 43 ans a été mis en examen pour recel de cadavre et placé sous contrôle judiciaire.

Lors de sa garde à vue, "connaissance ancienne de la suspecte", il a reconnu l'avoir véhiculée "à sa demande" avec "deux valises et la caisse en plastique" depuis Paris jusqu'à son domicile à Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine), à la périphérie. Après l'avoir accueillie chez lui "avec les valises et la caisse", il a appelé deux heures après "un chauffeur VTC pour qu'elle retourne à Paris avec les valises et la caisse".

Outre Dahbia B. et cet homme, quatre autres personnes ont été placées en garde à vue. Il s'agit d'un homme à qui Dahbia B. aurait proposé "la vente d'éléments contenus dans la caisse" vendredi après-midi, un individu qui l'a hébergée dans la nuit des faits, de la sœur de la suspecte et du SDF qui a découvert la boîte, détaille la procureure. Tous ont été relâchés sans poursuite. (!!!!!)

Meurtre de Lola : ce que l'on sait de l'enquête sur la mort de la collégienne de 12 ans (msn.com)
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/meurtre-de-lola-ce-que-l-on-sait-de-l-enqu%c3%aate-sur-la-mort-de-la-coll%c3%a9gienne-de-12-ans/ar-AA135PDJ 

Pédocriminalité : toujours les mêmes mensonges, arguments, dénis & méthodes d'investigations scabreuses

Encore une fois le scénario est quasi écrit d'avance : un meurtrier isolé "déséquilibré à l'enfance difficile" ou une "folle meurtrière hystérique" placée ensuite rapidement en isolement en HP (Hôpitaux Psychiatrique ou qui y a déjà séjourné auparavant ou qui a déjà été poursuivi pour d'autres faits mineurs ou en situation irrégulière ou précaire... etc. ), les familles "sous le choc" encore ou endeuillées, elles, sont sciemment évincées, muselées quand ce n'est pas carrément menacées ou persécutées elles-mêmes judiciairement car suspectées injustement (la célèbre Affaire Grégory). Tout cela déjà afin d'éviter au plus vite les fuites d'informations contradictoires avec le discours officiel admis et répété en boucle par tous les "experts TV" et journaleux mainstream. 

 C'est très pratique ainsi pour faire oublier et détourner l'attention du public des faits réels entourant les multiples viols avec tortures sur mineurs après kidnapping en réseaux avec ou sans meurtres rituels pédo-sataniques en France, Belgique & co. Et effacer ainsi tous ces précieux éléments récoltés sur place par l'entourage comme par les enquêteurs sérieux dans les heures ou jours qui suivent le(s) meurtres et/ou disparitions d'enfants comme d'adultes d'ailleurs toujours trop nombreux en France.  

"Pour son premier numéro d'Appel à témoins, M6 revenait notamment sur la disparition de Lucas Tronche, 15 ans au moment des faits, volatilisé depuis déjà 6 ans. On peut alors citer cette statistique qui fait froid dans le dos : en France, un enfant disparaît toutes les 10 minutes. Un chiffre qui a beaucoup circulé, mais qui se doit d'être expliqué. Il est en fait la moyenne d'un autre chiffre, plus officiel cette fois, fourni par le Ministère de l'Intérieur : 51 287 disparitions d'enfants mineurs ont été signalées dans notre pays en 2019.

Entre 2 et 10 cas par an de disparitions criminelles

Parmi ces disparitions, on compte 49 846 fugues, 918 disparitions inquiétantes et 523 enlèvements parentaux. « Un tiers de ces jeunes revient ou est retrouvé dans les soixante-douze heures, un deuxième tiers dans le premier trimestre suivant la disparition », explique Laureen Burbau, directrice de la communication de l'association Droit d'enfance, au Parisien. Pour le dernier tiers, ils ne sont pas forcément « jamais retrouvés ». Les parents ou les enquêteurs peuvent « sans les forcer à revenir (...) garder un œil » sur ces jeunes de plus de 15 ans qui « restent dans l'errance : dans des squats, dans des groupes de SDF, ou plus rarement, à l'étranger », selon Mme Burbau, directrice de la communication de Droit d'enfance.

Un numéro pour les familles

Une autre nuance est à apporter et a son importance. Il s'agit en effet du nombre de signalements, et non pas tout à fait celui des disparitions. Aussi, un même enfant peut faire l'objet de plusieurs signalements, comme l'ont précisé les équipes du 116 000 à Franceinfo en 2019. Le 16 000 est un numéro gratuit et disponible 24 heures sur 24 – accessible dans toute l'Europe – réservé aux familles et aux proches des mineurs disparus, qui leur assure notamment une prise en charge psychologique."

Disparitions d'enfants en France : une statistique glaçante | PARENTS.fr paru le 09/06/2021
https://www.parents.fr/actualites/enfant/en-france-un-enfant-disparait-toutes-les-10-minutes-892418 

En réalité PERSONNE (ou encore trop peu) ne souhaite admettre l'existence de réseaux sectaires ultra performants et bien organisés au niveau national comme international, à part quelques médiums discrètes comme dans cette vidéo à gauche d'Amandine Roy (médium et lanceuse d'alerte sur le transgenre de #JeanMichelTrogneux) et la surprenante comparaison à gauche sur le plateau de TPMP par Georges Fenech (ex-président de la célèbre MIVILUDES, organisme étatique contre les dérives sectaires) avec les sectes satanistes algériennes et marocaines autour des "enfants zouhris" sacrifiés, saignés puis vendus aux réseaux maffieux de trafic d'organes international.  Ce tabou social est encore bien trop enfoui, nié, rejeté par les populations car extrêmement grave et douloureux pour l'équilibre de la psyché humaine. Et pourtant si la "folie hystérique du Mal" ici comme l'appât de l'argent ne sont effectivement pas loin, ils n'en sont certainement ni la seule raison, ni la principal explication (puisque préméditation avec repérage préalable des victimes, pistage, timing, signes et connections astrologiques & numérologiques, organisation matérielle, lieu spécifique, etc.) ni surtout la moindre excuse ou alibi d'aliénation mentale ou "démence" (du latin dementis : sans esprit ou sans âme ce qui est bien le cas aussi).

En tout cas il a bien trop de zones d'ombre ici pour se contenter bêtement de ce qu'on nous en décrit. Il semble plus cohérent et logique d'écouter les voix discordantes même si dérangeantes en apparence mais bien plus expérimentées et lucides comme celle de Georges Fenech mais aussi Karl Zéro et Elise Lucet, Alexandre Lebreton, Stan Maillaud et bien d'autres (liens ci-dessous et sur notre autre page : Les fugues, disparitions et enlèvements).   

"On appelle enfants zouhris, au Maroc et en Algérie, des enfants présentant un morphotype et des caractéristiques bien particuliers. En effet, ce sont souvent des enfants roux aux yeux bleus ou blonds aux yeux clairs et ils doivent présenter une ligne continue qui traverse la paume de la main. Ces enfants zouhris sont dits « Chanceux » car ils permettraient d’accomplir des miracles et en particulier de découvrir des trésors enfouis.

Ces enfants zouhris sont systématiquement recherchés et kidnappés pour être ensuite revendus aux Fkihs pour une somme allant de 1000 dirhams à 450.000 dirhams. Ils seront ensuite sacrifiés aux djinns sur l’autel de Satan dans le cadre d’un rituel censé permettre la découverte de trésors enfouis sous terre depuis des siècles. Les enfants Zouhris sont enlevés et égorgés pour faire une offrande aux djinns qui sont les gardiens des trésors. Ces djinns exigeraient une certaine quantité du sang de ces enfants pour permettre aux chercheurs de déterrer des trésors.

Ce sont des faits véridiques régulièrement jugés dans les tribunaux car ce sont bien sûr des pratiques criminelles de la sorcellerie.

La psychose s’empare maintenant de l’Algérie car dans plusieurs régions du pays ce phénomène prend des dimensions alarmantes. Les auteurs de rapts vont même plus loin encore car une fois l’enfant égorgé et son sang récupéré pour les besoins du rituel, ils vont jusqu’à extraire ses organes pour alimenter un trafic d’organes international. On est en présence, certainement, de réseaux maffieux de trafic d’organes évoluant en réseaux organisés, et pour lesquels le gain est au-dessus de toute considération humaine."

LOLA : Georges Fenech "expert en sectes" parle de "rites sataniques" devant des millions de français - Terre et Peuple - Résistance Identitaire Européenne : https://terreetpeuple.com/?view=article&id=5312:lola-georges-fenech-expert-en-sectes-parle-de-rites-sataniques-devant-des-millions-de-francais&catid=593

LOLA : Georges Fenech "expert en sectes" parle de "rites sataniques" devant des millions de français

Hier soir, dans "Touche pas à mon poste" sur C8, Georges Fenech était l'invité de "Touche pas à mon poste" sur C8 pour évoquer le meurtre de la jeune Lola. Sur le plateau de l'émission, le magistrat honoraire et porteur de la loi sur l'irresponsabilité pénale a évoqué l'hypothèse des enfants zouhris.

"On appelle enfants zouhris, au Maroc et en Algérie, des enfants présentant un morphotype et des caractéristiques bien particuliers. En effet, ce sont souvent des enfants roux aux yeux bleus ou blonds aux yeux clairs et ils doivent présenter une ligne continue qui traverse la paume de la main", explique le site Maghreb Observateur.

Georges Fenech précise que ces enfants "sont considérés comme ayant des pouvoirs". "Actuellement, il y a plein d'affaires qui sont jugées en Algérie. Ils sont kidnappés, sacrifiés. On boit leur sang. Il y a des rites sataniques", a poursuivi le magistrat.

Et d'ajouter : "Sur cette fillette, il y avait le chiffre 1 sur la plante de son pied gauche et le chiffre 0. La meurtrière présumée a dit, semble-t-il en garde à vue, qu'elle avait bu son sang. C'est exactement le rite satanique des zouhris que l'on trouve en Afrique du Nord. J'ai besoin de savoir qu'est-ce qui a inspiré cette femme. Il faut comprendre".

Il faut en finir avec "Pedoland" !

L'enterrement de la petite Lola ayant eu lieu le lundi 24 octobre 2022, en rendant hommage également à la grande championne de France de gym aérobic qu'elle était déjà à 12 ans, nous nous association à l'immense douleur de cette famille elle-aussi martyre pour réclamer, comme toutes les autres associations et familles de victimes mineures en France, que ce massacre cesse enfin ! Il n'est plus possible que notre pays soit devenu "Pédoland" (comme on la nomme vicieusement à l'étranger pour parler de la pédocriminalité impunie "en col blanc"), qu'il y ai toujours autant de crimes d'enfants impunis, de viols d'incestes et actes de tortures et barbarie. Non pas uniquement perpétrés par des détraqué.e.s isolé.e.s au sein de familles et d'églises ou autres, dans les dortoirs, stades et chambres d'hôtel avec pornographie et pédophilie derrière mais bien également aux seins de cercles, loges, sectes et autres réseaux occultes qui clairement se servent aussi d'internet et de ces détraqué.e.s immigré.e.s ou non (mais l'immigration précaire est une situation aggravante vers la délinquance et la criminalité, on le sait) pour martyriser et détruire notre jeunesse et toutes les promesse d'avenir, bonheur et prospérité qu'elle aurait pu nous apporter.