Vaccination : mort d'Aryana, un bébé de 7 mois !

Date de publication : Jun 22, 2015 4:33:41 PM

Mort de la petite Aryana, bébé de 7 mois qui a convulsée juste après une vaccination

Début mai 2015, une petite fille d'à peine 7 mois est tombée durant plus de 40 jours dans le coma, après une très forte fièvre (plus de 42°C) puis des convulsions suite à une vaccination contre le DTPolio Infanrix + Prévenar. Elle est morte le dimanche 21 juin, le jour de la fête des Pères, après que les parents aient accepté que les médecins de l'Hôpital d'Angers, où elle avait été transféré, la débranche. 

En effet, ces jeunes parents de 2 autres enfants en bas âge (3 et 2 ans), qui habitent Sées dans l'Orme, avaient longtemps refusé de "la laisser partir" malgré le fait qu'elle avait subi de graves séquelles tant physiques que psychologiques suite à une séance de vaccination chez leur médecin de PMI. Ils voulaient encore croire à son rétablissement (vidéo censurée aussi) : http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/la-mre-dayana-je-ne-veux-pas-que-ma-fille-soit-dbranche-564148.html

L'impensable était arrivé à ses jeunes parents qui n'avait pas leur permis de conduire pour emmener leur dernier bébé aux Urgences Pédiatriques les plus proches. Lorsque sa fille a commencé à monter en fièvre (plus de 42°C) puis à faire des convulsions et montrer des signes très inquiétants après la vaccination, la mère très inquiète avait même supplié le SAMU de venir en pleine nuit, mais ils avaient simplement répondu de lui donné un Doliprane, un bain et d'attendre demain. Sa belle sœur travaillant à l'Hôpital d'Alençon lui a "conseillé d’appelé le pédiatre de garde. Qui m’a dit de ne pas m’inquiéter et de consulter mon médecin traitant. Mais à Sées, aucun médecin n’était disponible à ce moment. »

Le lendemain, un voisin les emmène aux Urgences d'Alençon, mais trop tard ! 

« L’infirmière a tout de suite constaté qu’Ayana était bien en convulsion. » L’enfant est placé sous oxygène, sous antibiotiques, sous perfusion. Puis elle est transférée au service de réanimation pédiatrique du Mans. «  Je n’ai pas pu l’accompagner », regrette Julie, amère. Le lendemain, l’hôpital rappelle. « Son état s’aggravait. Ils nous ont demandé de venir, parce qu’elle pouvait décéder à tout moment. » En entrant dans la chambre, Julie confie s’être « effondrée » Ayana a été placée en coma artificiel,  « branchée de partout. Elle respirait avec une machine. » Malgré les médicaments administrés à dose de plus en plus forte, les convulsions persistent. « Un médecin a avancé plusieurs hypothèses : une mononucléose, un herpès, une maladie métabolique. Certaines sont incurables. »

Transférée à Angers, Ayana est suivie par un spécialiste de ces maladies. Les nouvelles ne sont pas bonnes. L’IRM a révélé que le bébé présentait des séquelles. Julie répète ce qu’elle a entendu. «  Elle ne pourra peut-être pas parler, pas marcher, ou pas se nourrir toute seule. » http://www.initiativecitoyenne.be/2015/05/ayana-dans-le-coma-le-lendemain-de-sa-vaccination.html

Quelques semaines plus tard ils accepteront, devant l'ampleur des "séquelles neurologiques gravissimes, irréversibles, avec un tableau de souffrances, de douleurs, extrêmes", de la débrancher des machines qui le tenait encore en vie artificielle. 

Outre le fait que le Samu est responsable de sa non assistance à personne ne danger, cela pose à priorité la cause plus que probable de la sur-vaccination dans cette horrible affaire, car "Derrière le débat médical, se profile une polémique sur les vaccins. Nous voulons «tout savoir de ce qui s'est passé» et «nous voulons que soit tenu aux parents un discours loyal et honnête, à savoir que la nocivité des vaccins est à l'origine des 42° de fièvre (d'Ayana): c'est l'association criminogène des deux vaccins, Prevenar et Infanrix», tranche Me Ludot.

Dans la notice du vaccin PREVENAR, il est d'ailleurs bien écrit : "•Lorsque Prevenar 13 est administré de manière concomitante avec Infanrix hexa (DTCa-HBV-IPV/Hib), le taux de réactions fébriles est similaire à celui constaté lors de l'administration concomitante de Prevenar 7 (7-valent) et Infanrix hexa. Une augmentation des taux de déclarations de convulsions (accompagnées de fièvre) et d'épisodes d'hypotonie-hyporéactivité (EHH) a été observée lors de l'administration concomitante de Prevenar 13 et d'Infanrix hexa." https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/123-prevenar-13

Voici les seules contre-indications indiqués plus haut : 

"Hypersensibilité aux substances actives ou à l’un des excipients ou à l’anatoxine diphtérique.
• Comme pour les autres vaccins, l’administration de Prevenar 13 doit être différée chez un enfant présentant une maladie fébrile aiguë sévère. En revanche, une infection mineure, telle qu’un rhume, ne doit pas conduire à différer la vaccination." 

Donc même un petit rhume ne justifierai pas de repousser la vaccination. Pourtant beaucoup de médecins le font alors, tord ou raison ? En tout cas, le labo savait qu'il ne fallait pas combiner les deux, mais visiblement pas ce médecin de PMI ! Résultat cette petite est morte pour rien ! Alors, les juges diront probablement que c'est la faute du médecin qui ne savait pas lire ou du SAMU qui ne savait pas écouter. 

Mais évidemment personne n'inculpera le laboratoire de vendre ce vaccin PREVENAR "* Conjugué à la protéine vectrice CRM197 et adsorbé sur phosphate d’aluminium (0,125 mg d’aluminium)." + INFANRIX : (1) adsorbé sur hydroxyde d'aluminium hydraté [Al(OH)3] : 0,5 mg Al3+. (...) (3) adsorbé sur phosphate d'aluminium (AlPO4) : 0,32 mg Al3+.

Si je fais le total de 0,945 mg d'aluminium, voir un peu plus "+(..) donc arrondissons à 1 cg d'aluminium alors à un bébé de 7 mois, + toutes les souches ici (https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/14-infanrix-hexa)